MHADJU, IDRISS ET AVOCATS OU SE NICHE LE DIABLE ? Je partage l'indignation de Mr Idriss Mohamed ( au milieu photo ) sur ce point précis;...
Je partage l'indignation de Mr Idriss Mohamed (au milieu photo) sur ce point précis; un compatriote originaire de Moheli vient défendre " Mayotte française " sur le territoire national au mépris de toutes les constitutions comoriennes qui ont constamment rappelé l'intégrité du territoire composé de quatre îles, y compris Mayotte administrée par la France.
Simplement, la complaisance ambiante des intellectuels du pays brûle les perspectives. Les accords cadres de juillet 2019 signés par l' équipe d'Assoumani Azali à Paris ont encore cédé la Mayotte comorienne par une espèce de me-vente à 150 000€. Mr Idriss Mohamed vu récemment à Beit salam avec Mr Ali Moindjie a dit " fonder beaucoup d'espoirs " en Assoumani Azali sur un dossier d'une victime de protocole sanitaire quand Ahamada Gazon, victime d'une bavure militaire en décembre 2018, n' a toujours pas obtenu justice , ni indemnisation.
Notre compatriote Mohamed Idriss qui tacle un " énergumène " venu de l' impérialisme français au sujet de cet avocat , quand on lui rappelle ses ambiguïtés et accolades avec le dictateur Assoumani Azali, il ne manque point de jongler, évoquant des " insultes " comme moyen de défense. Des insultes qu' idrisse invente souvent pour camoufler ses clair-obscurs et mésaventures pro Beit salam qui le trahissent chaque jour.
Nous le disons clairement cet avocat, Djamal Mhadjou (à droite photo), patronyme qui rappelle étrangement Moustoifa Mhadjou (la complaisance locale attribuée à Bob Denard à l' époque d' AHMED Abdallah Abdereman) mérite une hostilité intellectuelle locale, un mépris populaire. Ceci étant dit, Mr Idriss Mohamed doit savoir qu' ASSOUMANI Azali pèse négativement plus sur le dossier de Mayotte comorienne que ce juriste venu gonfler les approches juridiques décevantes, approches desquelles le barreau de Moroni venait de faire montre tout récemment entre Me Mzimba et Me Abdoulwahab, dans une espèce de bal à coups de bâtonnier.
Par Nourdine Mbae (à gauche photo)
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