Notre blog s’intéresse aujourd’hui à ce jeune fervent défenseur du régime du président Azali. Sans aucune fonction officielle pour le moment...
Mais Qui est-il vraiment ?
Diplômé d’un Master de droit public de l’économie à l’Université de Paris-Est Créteil (sources recueillies auprès de sa page Linkedin) et chargé d’enseignement dans plusieurs Universités Françaises, il soutient bientôt sa thèse doctorale, portant sur « La liberté de gestion du domaine public » (source recueillie auprès du site français Thèse.fr).
Ce jeune, humble et discret, est admiratif du débat contradictoire. Pour s’en convaincre, il suffit d’analyser et de constater ses interventions sur les réseaux sociaux. Et côté du régime, il pèse. Certains vont jusqu’à dire qu’il est l’homme de l’ombre du régime; pourquoi pas ?
Lors de ses passages à la Télé, il n’a pas hésité à affronter certains hommes politiques de l’opposition ( Said Larifou, Wadaane, Tocha Djohar). Il argumente, il critique, il propose, il apparaît en réalité comme l’homme proche du pouvoir. Dans la même veine, il est souvent réputé comme le juriste du régime. Ses prises de positions influencent et souvent appréciées par la présidence, selon certains proches du président.
La presse écrite nationale (Alwatwan, La gazette et autres) le sollicite sur tout ce qui porte sur l’aspect juridique. Il prend position et défend avec force les décisions légales du président Azali.
En France où il vit, il participe régulièrement à des colloques et séminaires universitaires. Sur sa page Facebook, l’on le voit, dans une vidéo qu’il a partagé, en train de débattre sur une notion juridique relative aux contrats de la commande publique. L’on comprend très vite qu’il s’est spécialisé en droit public et est un juriste éminent.
Ce jeune, à l’apparence d’un vieux loup, a toute sa place auprès du président AZALI dans sa politique d’émergence.
©Blog Comoresalternances
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