Je dénonce le fait que nous vivons dans un monde incroyable, scindé en deux les méprisants et les méprisés. Messieurs les nantis à l’...
Je dénonce le fait que nous vivons dans un monde incroyable, scindé en deux les méprisants et les méprisés.
Messieurs les nantis à l’esprit tordu, aujourd’hui, le progrès aidant, les temps changent, pas votre mentalité. Pourtant, l’information n’est plus la même, le numérique est votre ennemi.
Il vous tient, ne vous lâche pas, donnant à la masse d’inconnus que vous dédaignez, heureux cooptés dans la bobo sphère, un accès à l’information nationale et internationale tel que vous ne pouvez plus nous mentir, pas même sur les privilèges que vous ne voulez pas lâcher.
Vos éléments de langage restent stériles, vos appréciations indigestes. Dans les faits, vous vous croyez au-dessus du lot alors que vous êtes complètement dépassés, car vous avez plus besoin de ceux que vous détestez qu’ils n’ont besoin de vous.
Il vous tient, ne vous lâche pas, donnant à la masse d’inconnus que vous dédaignez, heureux cooptés dans la bobo sphère, un accès à l’information nationale et internationale tel que vous ne pouvez plus nous mentir, pas même sur les privilèges que vous ne voulez pas lâcher.
Vos éléments de langage restent stériles, vos appréciations indigestes. Dans les faits, vous vous croyez au-dessus du lot alors que vous êtes complètement dépassés, car vous avez plus besoin de ceux que vous détestez qu’ils n’ont besoin de vous.
Sans ceux que vous considérez comme de la valetaille, vous n’êtes rien, prenez en conscience si vous pouvez, si votre ego laisse encore un peu de place à la réflexion. Tournez sept fois votre neurone dans le liquide cérébro-spinal vous évitera peut-être une hydrocéphalie néfaste. Si votre réflexion vous le permet encore, évitez de parler dans vos émissions de la fachosphère en ce qui nous concerne. Je me permettrais à ce sujet de vous remémorer ce que vous semblez avoir oublié. Un fasciste, est celui qui impose une autorité arbitraire, dictatoriale et violente à son entourage. N’est-ce pas une définition en correspondance avec vos réactions irascibles, vos actes et pensées directifs qui ne supportent pas la contradiction ?
Vous avez saboté notre nation, car vous ne l’aimez pas ou tout au moins pas autant que vous-même et votre argent. Tout ce que vous faites n’a qu’un seul but : vous donnez bonne conscience, car votre subconscient n’en peut plus de supporter votre hypocrisie par rapport à ceux qui souffrent.
Vous vous voulez vexants, vous êtes seulement minables, d’autant plus que vous ne lâchez pas vos fonctions avant un âge canonique ou même, en changez, de politicien à animateur par exemple, ce qui vous laisse à peine quelques mois à la retraite. Dans ce domaine encore votre comportement est égoïste, vous jouissez pour certains d’entre vous honteusement de CDD comme intermittents du spectacle, ruinant un système dont d’autres ont un réel besoin. Vous oubliez les jeunes qui souffrent du chômage.
Que faites-vous, hormis promouvoir la pensée unique en triturant fortement l’information, donner des leçons, notamment sur l’islam politique et vêtements associés, et faire des appels pathétiques auxquels vous ne répondez pas vous-même. Vous n’hésitez pas à utiliser lavage de cerveau et bashing à tous crins pour faire passer vos idées, votre favori ou votre sondage, avec la réussite que l’on connaît. Vous voulez votre Comores ou votre capitale, à votre botte.
Pourtant, en voulant imposer vos idées de doux rêveurs, vous avez bradé pays, villes et endroits stratégiques sans l’ombre d’un remord, d’une réflexion et expédié nos jeunes cerveaux vers l’étranger en proie à un dégoût inavouable de la vie que vous leur préparez. Cette belle contrée est devenue grâce à votre laxisme, à vos non-dits, une poubelle à ciel ouvert, concentration d’indigence et de tracasseries.
Pourtant, en voulant imposer vos idées de doux rêveurs, vous avez bradé pays, villes et endroits stratégiques sans l’ombre d’un remord, d’une réflexion et expédié nos jeunes cerveaux vers l’étranger en proie à un dégoût inavouable de la vie que vous leur préparez. Cette belle contrée est devenue grâce à votre laxisme, à vos non-dits, une poubelle à ciel ouvert, concentration d’indigence et de tracasseries.
Décidément, Messieurs les intellectuels, ceux que vous dédaignez ont encore beaucoup de choses à vous apprendre ! Des choses simples, indispensables à la vie en société, ce que vous appelez avec mièvrerie le vivre ensembles, mais que vous n’entrevoyez que dans l’entre-soi. Écoutez-les, cessez votre mépris, ne serait-ce que par respect pour ceux qui sont probablement mieux élevé que vous ne semblez le penser.
MHOUMADI Hamidou
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