Kamal Abdallah avec l'ancien raïs Sambi Dans la Cour de la sénilité suprême Ils sont, dans leur grande majorité, très au-delà d...
Kamal Abdallah avec l'ancien raïs Sambi |
Dans la Cour de la sénilité suprême
Ils sont, dans leur grande majorité, très au-delà de la moyenne de l’espérance de vie pour un pays comme le nôtre où, d’ailleurs, dans le Code de la fonction publique nationale, la limite d’âge, pour les cadres supérieurs de catégorie A, est fixée à 65 ans.
Même si cette règle s’applique aussi pour les fameux magistrats malgré leur statut particulier au bénéfice mirobolant de plafonnement indiciaire à plus 3000 - quasi double des autres administrateurs -, la quasi-totalité d’entre eux sont des septuagénaires bien sonnés aux neurones défectueux, incapables de discernement pouvant leur permettre de dire le droit et qui vont mettre – à nu – leur cervelet mi- morte mi- vivante pour ne pas libérer l’innocent Président Ahmed Abdallah Mohamed SAMBI, qui gît – douloureusement- voilà plus de deux ans, dans le geôle d’Azali Assoumani Boinachari , cet homme sans foi ni loi qui a déclaré il y a quelques mois devant une chaîne de télévision étrangère que « Sambi n’est pas condamné, mais il est prisonnier. »
Être prisonnier sans être condamné au préalable, il faut être déréglé psychologiquement pour dire une telle ânerie si grotesque pour un soi-disant premier magistrat du pays. Alors qu’attendre de la cohorte des seconds magistrats de la Couroucourou ? Tel premier, tels seconds. A nul, nuls et demi.
Même si cette règle s’applique aussi pour les fameux magistrats malgré leur statut particulier au bénéfice mirobolant de plafonnement indiciaire à plus 3000 - quasi double des autres administrateurs -, la quasi-totalité d’entre eux sont des septuagénaires bien sonnés aux neurones défectueux, incapables de discernement pouvant leur permettre de dire le droit et qui vont mettre – à nu – leur cervelet mi- morte mi- vivante pour ne pas libérer l’innocent Président Ahmed Abdallah Mohamed SAMBI, qui gît – douloureusement- voilà plus de deux ans, dans le geôle d’Azali Assoumani Boinachari , cet homme sans foi ni loi qui a déclaré il y a quelques mois devant une chaîne de télévision étrangère que « Sambi n’est pas condamné, mais il est prisonnier. »
Être prisonnier sans être condamné au préalable, il faut être déréglé psychologiquement pour dire une telle ânerie si grotesque pour un soi-disant premier magistrat du pays. Alors qu’attendre de la cohorte des seconds magistrats de la Couroucourou ? Tel premier, tels seconds. A nul, nuls et demi.
Donc ce samedi 20 juin, alors qu’un homme ayant comme pêcher capital l’amour populaire inégalé, désigné coupable par le jaloux dictateur sanguinaire putschiste colonel de ce délit du don d’ubiquité qu’il incarne, va être, indubitablement accusé à tord par cette bande des juges béni oui oui, corrompus etvtoujours prompts à dire le droit à revers. De part leur parcours de juges sans vergogne, comment oseront-ils agir autrement ? Mais ici je vous évoque les trois les plus voraces.
L’octogénaire, le doyen, au physique tremblotant, l’ancien instituteur Nidhoime Attoumane saisira ce honteux procès au résultat connu d’avance pour montrer à fond sa soumission et son allégeance au putschiste-sanguinaire Azali Assoumani pour cadeaux donnés. Faites le compte : Sounhadji le frère - cardiologue sans baccalauréat - Secrétaire général de la Présidence, la belle sœur Marie Sounhadji Directrice générale du Tourisme, le neveu Yasser Ali Assoumani Directeur général des Aéroports des Comores, la cousine Kamlati – la BEPCienne – Directrice générale de la Fonction Publique, le Cousin El-Sadate Directeur de Cabinet du Ministre des Postes et Télécommunications.
Le truand, le septuagénaire, l’ancien instituteur Nourdine Abodo, le magistrat à plusieurs fonctions incompatibles à la fonction, qui est toujours à l’affût d’un billet de franc à soutirer dans l’ensemble des sociétés d’État en se désignant – cumulativement - conseiller juridique desdits établissements publics. Mensuellement ONICOR, ORTC, Comores Télécom, ANERTIC, Comores Câbles, APC et d’autres encore lui versent au minimum 75 000 fcs pour service « Iyo Mgnagna » comme il aime se pavoiser.
Et la place de la coquête dans tout ça ! Elle s’appelle Harmya Kassim. Ô pardon. Le regretté Kassim – paix à son âme – tourne dans sa tombe dès que son nom est associé à la dame de Couroucourou. La représentante féminine est loin d’être la fierté de l’ascension de la gent féminine en quête de place de choix dans la haute sphère de l’Etat. Du judiciaire en tant qu’ancienne avocate voulue et désignée par feu Président Ahmed Abdallah Abderemane soucieux de voir une femme comorienne assumer cette fonction, elle s’est fait octroyer plusieurs spécialités juridiques, avec la volonté de Gozibi, les galons de juge constitionailiste, administrative, judiciaire et de compte en même temps. Quel génie !
Le pire, elle qui arrive à valider les résultats électoraux frauduleux et honteux est aujourd’hui entrain de salir la diplomatie d’un grand pays africain qu’est le Sénégal. Comment Dakar, connu pour sa force diplomatique au-delà du Continent noir, peut – il continuer à lui confier la fonction de consul honoraire quand elle n’a point d’honneur pour la représenter aux
Comores ? Le Président Macky Sall est – il méconnaissant du déshonore que cette dame inflige au pays de la Teranga, fer de lance de la démocratie en Afrique ? Non le Sénégal mérite autre personne que cette complice sans limite de la dictature sanguinaire sévissant aux Comores. Au secours Amadou BA ! Aux Comores il y a d’autres talents probes pour s’occuper de vos intérêts.
Certes il y a les Cheikh Salim, Fatihou et d’autres de moindre calibre. Mais il ne faut pas se leurrer : c’est aux mains des trois décrits si hauts que le criminel putschiste-sanguinaire colonel compte beaucoup pour que l’appel de justice juste que Maitre Mahamoud pourvoit obtienne un écho défavorable pour lui permettre de continuer de séquestrer le populaire et homme de foi, le président Ahmed Abdallah Mohamed SAMBI. Raïs Sambi le fait peur. Sa force puisée de sa croyance religieuse est loin de lui pousser à rédiger un testament comme l’ensemble des Comoriens réclamant à juste titre 2021 pour Anjouan et qui ne le signeront pas. N’est-ce pas Belou, la voix de ton maître ?
KAMAL ABDALLAH
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