"Pris d'assaut par le coronavirus, Azali Assoumani aura-t-il l'humilité d'interrompre son processus de transformation de...
Déjà, il faut retenir qu'il s'est complètement trompé en voulant feindre l'étape cruciale pour cette mutation, qui n'est autre qu'une révolution au sens propre et large du terme.
Car pour se faire, la mise sur les rails d'une dictature socialiste, qui n'est nullement une politique odieuse mais plutôt audacieuse, relève de plusieurs facteurs dont l'oligarque se heurte en fonction de l'étendue de sa politique.
Azali Assoumani est devenu depuis ces quatre dernières années le champion de la réinvention de jurisprudence alors que son dessein devrait vêtir une allure réformiste.
Ayant suivi une voie non académique, aujourd'hui c'est une épidémie meurtrière à partir de ses effets néfastes qui viennent accompagner son débordement maximaliste provoquant une atmosphère d'insécurité laquelle :
- le peuple comorien vit de l'incertitude qu'il y ait ou pas une maladie dangereuse dans son territoire.
- le peuple comorien se refuse de faire confiance en sa présidence en témoignant une méfiance dans ses allocutions.
- le peuple comorien voit dans toutes ses actions, une manœuvre de duperie.
Pour tous ceux qui prônent à ce que la politique soit mise en quarantaine le temps de vaincre le coronavirus, doivent comprendre une chose, à savoir :
La lutte contre le Covid-19 est aspiration disciplinaire issue d'une bonne gouvernance, à qui, Azali Assoumani n'est malheureusement en mesure de faire inspirer au peuple comorien. Le Covid-19 est en guerre contre les politiques et les scientifiques.
Le penchant national-autoritaire lequel il exhorte, va s'associer avec cette épidémie pour tous nous tuer.
Que Dieu nous vienne en aide".
Cordialement,
Salec Halidi Abderemane
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