La corruption dans cette nation m'ayant mis au monde, n'est seulement pas centrée dans l'administration comorienne mais bat a...
La corruption dans cette nation m'ayant mis au monde, n'est seulement pas centrée dans l'administration comorienne mais bat aussi son plein dans les autres domaines de la vie quotidienne.
Quelques jours sont passés depuis que l'article intitulé: "L'orgueil des leaders sans vision précise de l'association Yes We Can Comoros" est paru en marge des journaux en ligne, et par la grande surprise, la présence d'un appel manqué sur l'écran tactile de mon appareil en a été constaté.
Ayant contacté le numero pour s'être informé de ce qui s'est produit, une voix disait: "On m'a ordonné de t'annoncer de stopper d'écrire sur les réseaux sociaux pour éviter une mésentente. Car là tu exposes notre honte à une très grande audience ce qui n'est pas du tout convenable."
Votre intermédiaire est d'une qualité intêgre et à très bien assimiler l'expression "Don't shoot the messenger," et a su très bien envoyer le message.
Pourquoi se donner tant de mal jusqu'à vouloir réduire à néant le quatrième pouvoir ? Est-ce parce qu'on a réalisé la profondeur de la tombe qu'on a creusé et qu'on s'agénouille pour demander pardon ou est-ce simplement une manière de faire taire la vérité?
L’incontournable loi peut intervenir à tout moment pour bânir toute tentative de corrompre la liberté d'informer au maximum sous prétexte de faire taire la vérité.
La plûme ne prends pas de position et elle est neutre. Son important rôle consiste à informer au maximum. Elle ne doit pas être terrorisée, méprisée ou humiliée. Elle fait son devoir et rien n'acquiert le droit de lui priver de sa liberté d'informer à moins que ce qu'elle dit ne tient pas la route et que ces sources sont falacieuses et mal-saines.
C'est une bonne chose que vous ayez eu les yeux sur ce qui est d'actualité et à la une car ça vous apprendra à mieux vous cerner. C'est une très bonne initiative d'avoir tenté de faire taire la vérité car cela aidera les lecteurs à mieux vous connaître et mieux apprendre les stratégies les plus meilleures à vous affronter car l'expression en est très bien claire et noir sur blanc: "Once bitten twice shy."
Éloquent qu'on vous trouve, votre langage de fer n'a plus sa force actuellement car ce n'est vraiment pas ce qu'on entend de: "Ask not what your country can do for you but ask what you can do for your country" que vous avez de temps en temps employé dans vos vaines discours pour faire fuir vos apparence.
Blanche comme la neige, si c'est ce que vous avez pu ressortir dedans, malheureux, semble-t-on, vous n'avez pas les qualités d'un bon interprète et cela révèle, votre point faible.
Étonnant, personne ne l'est, car ils comprennent tous la raison majeure ayant fait que l'association Yes We Can Comoros s'enfonce au creux de l'enfer tous les jours.
Et ce-ci s'explique par l'interminable conflit entre les membres constituant son bureau exécutif. Un Désagreement dû aux diverses malversation que dirigeait son chef hiérarchique qui, par la présente, réalise tout sans concerter les autres membres de l'exécutif.
Courageux que vous étes, vous avez réussi à camoufler votre vrai visage pendant quatre ans à l'exemple d'un loup se faisant passer d'agneau et de J.F. Kennedy que vous avez interprêté à votre aise et d'avoir fait ce que bon vous semble pour en faire une profonde gouffre.
Pourquoi ne pas vous mettre entrain de réparer la pagaille que vous avez semée que de perdre votre énergie à relater l'impossible et préserver les autres parts de responsabilités qui ont été mises à votre disposition?
Que des personnes n'ayant pas de sang dans les mains, des personnes pieuses et de bonnes coeur viennent au secours de Yes We Can Comoros, cette innocente association qui, du jour au jour fait sa libre chute bien que les ingrats leaders qui ne savent pas que le volontarisme est gratuit et que le volontaire, ambitieux et dévoué pour servir son prochain ne gagne plus rien en retour, recevraient une rémunération mensuelle.
Youssouf Nadjim
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