La sagesse ne dit pas des choses vaines et sans fondement. Elle sonde son esprit pensant avant d'avancer quoi que ce soit. Jalousie o...
La sagesse ne dit pas des choses vaines et sans fondement. Elle sonde son esprit pensant avant d'avancer quoi que ce soit. Jalousie ou haine, il n’y a rien des deux qu'importe. On ne jalouse pas l'œuvre fallacieuse et malsaines des leaders malintentionnés et sans cœurs. Leur but primordial consiste à ruiner les ressources d'association pour s'en approprier.
On hait la ruse, les malversations, l'ignorance des deux assemblées ordinaires et extraordinaires que les sans cœurs ont engendré.
Pourquoi les membres actifs de cette innocente association, font-ils la sourde-oreille?
La voix plaideuse des sans voix ne craint pas et ne pose pas de réserve. Elle laisse de côté les préjugés, réclame qu'on lui procure ses droits sans aucune barrière. Elle est prête à tout et ne joue pas à la sourde-oreille.
Plaider la cause d’une grande communauté comorienne privée de l’apprentissage de la langue anglaise ne ferait pas obstruction aux droits à l’éducation.
Il n'est pas question de prendre des mesures pour se laver des propos contre l'association Yes We Can Comoros car ils n'ont pas été faux mais d'unir tous les membres de cette innocente association, abolir l'un des dispositions statutaires, car l'association Yes We Can Comoros est une et ne peut être régie pas deux statuts différents. Cela est contradictoire et abusive, semble-t-il, en matière légale et de droit international.
Quelle injection, a-t-elle été infligée aux membres actifs de cette association?
Ne rien dire contre cette injustice que vive Yes We Can Comoros serait soutenir, encourager et partager les mêmes initiatives que ces voyous leaders.
Ne pas soutenir, encourager et faire avancer l’initiative des membres soucieux des moments difficiles que vive Yes We Can Comoros serait nier l’impact qu’a eu les cours d’anglais dans les différentes localités de la Grande-Ile et ne pas reconnaître le rôle qu’ils ont joué au sein de la communauté comorienne.
L’association Yes We Can Comoros avait fait trembler l’archipel des Comores grâce à la détermination de ces enseignants volontaires qui projetaient à son ascendance dans tout ce qu’elle avait entrepris à accomplir et dans tout ce qu’elle s’était engagée à réaliser.
La reconstruction et le profond désire de redonner de la valeur à l’association Yes We Can Comoros s’explique par la bonne détermination contraire à ce qu’avancent certains : « Ce gars est déterminé à nous détruire et à mettre enjeux notre crédibilité. »
La vraie détermination n'est pas synonyme de détruire, de mettre enjeux la crédibilité de Yes We Can Comoros, elle se rattache plutôt à l'épanouissement de son institution et embrasse les idées qui contribuent à son développement et le faire regagner sa réputation.
Le contredire serait choisir son camp et se dire ouvrir le dialogue pour trouver une solution urgente à l'association Yes We Can Comoros serait une séduction démoniaque et satanique.
Les premiers actes d’individus révèlent vraiment, qui ils sont et quelle est leur intention vis-à-vis des différentes situations qui se présentent à leurs yeux. Les phrases dorées de bijoux attrayants, vérité ou fausseté dissimulée, ne semblent pas être suffisantes pour convaincre les membres actifs à se laver des propos contre l’association Yes We Can Comoros. Ce qui est antagoniste à l'instauration des nouvelles bases qui initieraient un nouveau départ.
Par Youssouf Nadjim
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