L’association Yes We Can Comoros a connu des débuts triomphants dans différentes localités de la Grande-IIe dont Ndruani, Djoumoichongo, ...
L’association Yes We Can Comoros a connu des débuts triomphants dans différentes localités de la Grande-IIe dont Ndruani, Djoumoichongo, Hantsambou, Bibavu, Ntsaoueni, Djongwe grâce à l’enseignement de la langue anglaise.
Le plus souvent, les unes et milles questions nous intriguent et font qu’on se demande quelles étaient les qualités essentielles qu’avaient ses leaders et quelles stratégies avaient-ils employé pour influencer les jeunes dynamiques de ces différentes localités à adhérer leur vision ainsi que la partager.
Etre le fondateur et guide suprême d’une association pour un premier mandat de deux ans (2ans) et être réélu pour une seconde fois sans pour autant appuyer aux projets qui pourraient ressourcer et renforcer son programme d’enseignement en faveur de la communauté fait rage. Avoir Joué à l’aveuglette a une importante aide financière apporter à l’association Yes We Can Comoros montre l’ignorance accrue en matière de gestion financière de son guide suprême.
L’utilisation des dispositions statutaires d’une association à but non lucratif pour se faire une entreprise à profit en privatisant l’enseignement d’anglais dans les différentes localités et diviser les enseignants volontaires, l’organe important de l’institution, faire des assemblées générales ordinaires et extraordinaires comme si de plus rien n’avait vu le jour dans l’envie de ne mener aucun bilan financier est une trahison de haut rang. Trahir la promotion de la langue anglaise au sein de la communauté Comorienne, la protection de l’environnement et la préservation de la culture américano-comorienne qui sont les objectifs primordiaux de l’association Yes We Can qui servaient la communauté comorienne en se remplissant les poches est triste.
Comment expliquer cette amalgame par rapport à ce qu’ils osent dire des gouvernementaux ayant détourné des deniers publiques ou induit dans la corruption ?
Se vanter d’avoir fréquenté de plus grandes universités américaines enseignant du vrai leadership contraire de ce qu’on inspire aux membres adhérents à l’institution en suspensregroupant des gens fait vraiment peur. Et pour la plupart du temps, on a tendance à inverser l’expression anglaise : «Action speaks louder than words» en «Words speak louder than action» bien que leurs leaderships n’apportentaucune transformation à la communauté visée.
Y a-t-il un miracle qui ferait de ces nuls leaders, incapables même de diriger 500 membres, de responsable hiérarchique d’un pays de plus de huit cent milles habitants?
Yes We Can Comoros n’est actuellement pas en mesure de se mettre début, et a subit une paralysie due à une maladie incurable dénommée orgueil des leaders sans vision précise. Yes We Can Comoros a perdu sa confiance et sa crédibilité aux yeux de ceux qui l’ont tant valorisé grâce au dévouement de ces enseignants volontaires.
Le slogan “Be Learners, Be Teachers and Be Leaders” de l’association Yes We Can Comorosa fortement été secoué par un raz-de-marée. Il est déraciné de la terre et devient de plus en plus impopulaire.
Les fameux leaders ont échoué àl’accomplissement des activités leur ayant été soumises et ont triomphé à piller les ressources de l’association Yes We Can Comoros comme les blancs ont à l’époque dévaster les matières premières du continent africain.
Quel avenir pour les autres associations où ils adhèrent et en quoi vaut l’honneur d’être appelé Directeur ou président fondateur avec toutes les idées môches, meskines, avaristes de se battre pour son interêt personnel et non pour l’interêt général de l’institution t’ayant donné d’importance?
Cette mentalité était ancrée dans les veines de leurs anceintres et s’est transmise du père au filstout en leur laissant ce maudit heritage faisant d’eux des predateurs de la proie en numeraire dudit association Yes We Can Comoros.
Youssouf Nadjim
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