Lutte contre la dictature aux Comores Après l’Europe et l’Afrique de l’Ouest, cap sur l’Afrique de l’Est et l’Océan indien Après ...
Lutte contre la dictature aux Comores
Après l’Europe et l’Afrique de l’Ouest, cap sur l’Afrique de l’Est et l’Océan indien
Après une première phase de sensibilisation qui visait les instances internationales et la France quant à la dictature qui sévit de plein fouet aux Comores, Said Larifou a actuellement entrepris de mener une campagne de proximité afin de conscientiser les pays africains en général et l’océan indien en particulier sur les dangers que constitue le pouvoir autoritaire qui s’est installé à Moroni.
C’est dans cette phase de lutte acharnée que le vice-président du Cnt, Said Larifou a pris part à la marche et aux différentes activités de Dakar en faveur du peuple guinéen aujourd’hui victime de l’appétit vorace de pouvoir du président Condé et du peuple comorien aujourd’hui victime des atrocités commises par Azali Assoumani et ses compagnons.
Dans un élan panafricain, Said Larifou a su mobiliser les forces vives africaines et les grandes associations africaines de lutte contre les dérives autoritaires (notamment Y’en a marre au Sénégal) afin de réveiller les peuples et d’attirer l’attention sur la dictature aux Comores. Outre le continent, le vice-président du Cnt s’est rapproché des autorités et des forces vives régionales avec plusieurs déplacements à Madagascar, Réunion et Maurice pour divers échanges sur la situation comorienne.
Pour lui, les mobilisations en Europe et en Afrique de l’Ouest constituent une grande étape mais nos voisins d’Afrique de l’Est et de l’Océan indien doivent être sensibilisés sur les conséquences de cette crise sur la paix et la stabilité aux Comores et dans la région. Au cours de ses déplacements de sensibilisation sur les conséquences de la crise poste électorale, il a pu rencontrer des organisations des forces vives et des dirigeants politiques de la zone. Des perspectives immédiates de ralliements à la cause des comoriens sont possibles car déjà en janvier des actions sont prévues dans divers pays de l’océan indien et en Afrique de l’Est.
Said Larifou
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