L’opposition baptisée CNT, dans la rue, c’est l’expression de plusieurs échecs. Échec d’avoir manqué le rendez-vous historique avec l’int...
L’opposition baptisée CNT, dans la rue, c’est l’expression de plusieurs échecs. Échec d’avoir manqué le rendez-vous historique avec l’intelligence nationale lors des Assises nationales pour faire le bilan de 42 ans d’indépendance et de 15 ans de la Tournante.
Échec d’avoir manqué le rendez-vous populaire lors de consultation référendaire, échec d’avoir perdu les batailles électorales après avoir tenté en ordre dispersé de conquérir le pouvoir. Aujourd’hui, démoralisés et en panne d’idées, ils portent, partout où ils sont, l’esprit de la défaite et impriment un visage chaotique.
Ce qu’ils peuvent, c’est de ternir l’image de leur pays, et de faire une démonstration de leur capacité à nuire plus qu’à contribuer au développement. Certains d’entre eux, qui s’affichent sur des photos dans de supposées réunions très minoritaires, ce sont des gens, qui dans nos villes et villages, tendent à diviser les citoyens entre eux, à bloquer la mise place des institutions locales, comme c’est le cas dans ma région.
Nous avons envie de leur dire que face à leur sinistre spectacle, nous continuons à mener le combat de la transformation positive du pays. Toujours déterminés à répondre aux attentes des Comoriens, à trouver des solutions aux questions que se posent bon nombre de nos concitoyens et à conduire en somme notre pays vers la convergence des pays émergents. Trois ans de pouvoir sous le mandat Azali, le pays a commencé de poser les jalons du développement et à cela, l’engagement du chef de l’État est total.
Par Msa Ali Djamal
COMMENTAIRES