Les comoriens ont le droit de fréquenter leurs mosquées sans être partisans ni adversaires d'Azali

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LES COMORIENS ONT LE DROIT DE FRÉQUENTER LEURS MOSQUÉES SANS ÊTRE PARTISANS NI ADVERSAIRES D'AZALI, MAIS DANS L'ADORATION DE DI...

LES COMORIENS ONT LE DROIT DE FRÉQUENTER LEURS MOSQUÉES SANS ÊTRE PARTISANS NI ADVERSAIRES D'AZALI, MAIS DANS L'ADORATION DE DIEU...

Azali souffre d"un mal inextinguible et lancinant. Le sentiment d'être GOZIBI le trouble. Il n'est pas tranquille même au faîte du sacre usurpé. Ce complexe le poursuit partout. Tel cet enfant maudit et devenu arc-en-ciel à la recherche désespérée de source d'eau pour étancher une soif aux quatre coins du monde, Azali, le mal aimé des comoriens (gozibi de son propre aveu ), parcourt le pays, fait le tour de mosquées, s'y incruste afin de se sentir au milieu d'une foule qui l'adopte. 

Peine perdue encore ! Les gens le fuient systématiquement. On ne mélange pas politique et religion. Il se retrouve avec les mêmes, le cercle d'opportunités impuissants à combler son besoin vital de reconnaissance et d'adoption. Les intrusions dans les mosquées se poursuivent de manière grotesque mais le temps d'une prière, de humer la foule, l'illusion de la reconnaissance et de l'adoption retombe et celui qui veut être président sans être choisi par les comoriens est ramené à la réalité implacable de la contestation de son usurpation, de sa légitimité. 

Il aurait aimé que tous les jours soient la Ide ou vendredi pour continuer ses intrusions loufoques dans les mosquées en quête perpétuelle de légitimité impossible. Mais pire, l'effet de cette quête inassouvie, interminable et ridicule, c'est qu'Azali, tel un cochon dans un magasin de porcelaine, poursuit allègrement son œuvre fatale de destruction des institutions du pays. C'est donc autour de la religion de souffrir du comportement néfaste d'un homme dépourvu du sens des limites. 

Gozibi vient souiller cette institution en y introduisant des considérations politiques, tout cela pour exorciser un mal qui rongera son existence aussi longtemps qu'il ne comprendra pas que le suffrage universel est sacré. Un président ne doit pas écumer les mosquées du pays, s'imposer comme Imam sous peine de troubler la sérénité et la quiétude requises dans la pratique de la foi. Les comoriens ont le droit de fréquenter leurs mosquées sans être partisans ni adversaires d'Azali, mais l'adoration de Dieu.

Ahmed BOURHANE

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