Depuis qu’il a lancé sa campagne, de nombreuses personnalités économiques, politiques, intellectuelles ou religieuses ont apporté leur so...
Depuis qu’il a lancé sa campagne, de nombreuses personnalités économiques, politiques, intellectuelles ou religieuses ont apporté leur soutien au candidat de la mouvance. Le Journal Hebdo fait un tour d’horizon non exhaustif des soutiens du candidat Azali.
SAID ANTOISSE BIN SAID CHEKH
D’abord, c’est un homme qui croit et pratique la religion musulmane. Ensuite, il aime son pays plus que sa famille. Puis il n’est pas seulement un homme de parole, mais c’est un homme d’action. Il met en exécution ses projets. Parmi lesquels, il a priorisé d’abord la paix et se porte gendarme de celle-ci. Il ne recule devant en rien pour l’exécution de ses projets.
Il a aussi facilité beaucoup des choses parmi lesquelles, l’enseignement supérieur et la télécommunication dans notre pays. En créant l’université et Comores télécom. Il a également contribué au développement de l’agriculture par une rehausse du prix du kg de la vanille. Il a lutté contre la crise de l’électricité aux Comores. Ainsi, il a commencé par la réhabilitation des routes nationales. Il n’a pas non plus oublié le domaine de la santé et du tourisme en commençant la construction de l’hôpital El- Marouf et l’hôtel Galawa. Donc, il aime son pays, je dois le soutenir, car moi aussi j’aime mon pays.
Pour moi, je n’aurai pas à déployer de sérieux efforts pour faire campagne pour Azali, car, celui-ci en a déjà fait dans ma régionl y a plus d’un an, nous avions une crise d’eau et d’électricité dans la sous-région de Bambao Yamboini. Grâce à Azali, maintenant nous avons de l’eau et les routes sont aussi réhabilitées. Donc, en ma personne, moi Said Antoisse et tous les jeunes de Bambao, nous sommes derrière Azali.
Né en 1955 à Mbachile, Said Antoisse Bin Said Chekh Ali Chekh Aboubacar Ben Salim est un Homme religieux, chef des Ulémas (Madjilissi Chouroi) de la région de Bambao. Je suis le porte-parole de M’de et de Mbachile
MAITRE BACO MOHAMED, avocat à la Cour
Mon choix est motivé par une démarche politique actée par le Bureau national du Parti Ridja qui a décidé de soutenir l’émergence. Depuis notre ralliement au Président Azali, nous avons découvert en lui un vrai homme d’État engagé à reconstruire le pays tout en mettant en place les vraies réformes tant attendues afin de stabiliser les Comores pour les mettre sur les rails.
En deux ans de mandat, Azali a posé les vrais problèmes auxquels le pays se trouve confronté et propose les solutions destinées à les résoudre en mettant tout le pays en chantier. Ces réalisations méritent d’être encouragées, car aucune des autorités qui lui ont précédé n’a réussi à faire autant.
Cette démarche n’est pas du tout personnelle, car le Parti Ridja a rejoint le camp Azali depuis l’an 2017. Nous avons participé à toutes les nouvelles réformes mises en place, notamment les Assises nationales, la campagne de sensibilisation pour la révision de la Constitution et à la création de la Mouvance présidentielle où nous étions porte-parole.
Je compte sur la collaboration de mes collègues en nous appuyant sur les réalisations faites et d’autres projets phares ambitieux. Je ne réponds jamais aux provocations, car elles sont de nature à bloquer le développement des Comores, car si Azali n’est pas une valeur sûre, qui propose mieux ?
Maitre Baco Mohamed, né Ouellah Mitsamiouli, avocat
AMINI AMIR, opérateur économique
Les efforts déployés pour doter notre pays en énergie notamment l’électricité et en eau ont eu des effets directs sur la création des petites et moyennes entreprises. Nous avons constaté que de nouvelles sociétés ont été créées grâce aux effets indirects des infrastructures et aux mesures d’accompagnement et de facilitations mises par l’Administration de douane.
D’autres raisons expliquent mon choix pour Azali. Les infrastructures routières, les payements des fonctionnaires sans aide extérieure, la baisse du prix des produits pétroliers, du droit d’entrée à l’université, des coûts du transport aérien et du prix du riz. Je cite également l’harmonisation de l’administration comorienne.
Pour faire gagner le président, je me prépare en appelant mes camarades, mes amis, mes employés, mes partenaires et ma famille ainsi que ma région et ma ville natale pour soutenir la candidature de l’émergence. Je ferais tous les efforts pour la victoire du président Azali Assoumani.
AMINI AMIR né à Vouvouni, opérateur économique, PDG de Madji Mema
Daoud Halifa, opérateur économique
Mon soutien au projet présidentiel sur l’émergence s’inscrit dans une logique. Nulle n’ignore ma proximité politique avec le président Azali. Nous avions déjà en 2006 collaboré. Nous avons été battus. Treize ans après, après une heure d’échange avec le candidat, j’ai pu déceler une grande ambition pour le pays.
Durant cette campagne, nous nous efforçons d’expliquer au peuple pour qu’il puisse voir clair et voter pour faire gagner les Comores. Néanmoins, je dois reconnaître, le président également, que tout n’a pas été rose, il y a des corrections à faire, nous nous attelons désormais à porter les ajustements nécessaires.
Taoufik Ahmed Ali, PDG NAN Assurance
Je ne suis pas politicien et loin de l’être. Mais les faits sont là. Ils sont visibles sur tous les plans. Le Président Azali a pris le pouvoir en mai 2016. Depuis, les projets mis en place par le gouvernement sur les 3 îles ne me laissent pas indifférent. Oui je crois au président Azali à son engagement à faire de ces îles un pays émergeant à l’horizon 2030.
En 2 ans et 10 mois, le régime D’Azali a réalisé plus de projets que les 2 précédents présidents sur 11 ans. Et nul ne peut prouver le contraire.
Dans mon quartier à Magoudjou, je mise sur la jeunesse. J’ai décidé d’ouvrir un bureau afin d’échanger au maximum avec les citoyens du quartier et ma démarche est personnelle.
ALI MDAHOMA ALI, ANCIEN PRÉFET DU CENTRE
En 2002, j’étais parmi les opposants farouches d’Assoumani Azali. Mais suite à ses bonnes actions, notamment la lutte contre la corruption, plus particulièrement la création de l’université des Comores, puis la lutte contre la pauvreté, son combat pour la promotion du tourisme et de l’agriculture, surtout pour la création d’emploi à travers la création des sociétés d’État (Comores télécom, SNPSF), l’augmentation du prix de la vanille, tout cela montre bien qu’Assoumani Azali veut laisser ses empreintes dans son pays.
Car durant 10 ans, il n’a cessé de réfléchir sur un programme, et une feuille de route pour le développement des Comores.
Dès son arrivée au pouvoir en 2016, on commence à voir le fruit de ses réflexions, notamment la réhabilitation des routes, la construction de l’hôpital El Marouf, l’hôtel GALAWA.
C’est tout cela qui m’a permis de le soutenir avec détermination.
Ma seule méthode de faire gagner mon candidat, c’est la campagne de porte à porte et de ville en ville. C’est ce que je fais.
ALI MDAHOMA ALI (BOINAIDI MDAHOMA ALI) Né à Mdé, conseiller chargé des Affaires diplomatiques à la présidence de l’Ile, ancien préfet du centre ©L'Hebdo
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