« Les oiseaux de mauvais augures » Ils sont là après avoir échoué plusieurs fois. Ces oiseaux de mauvais augures cherchent encore à dé...
Ils sont là après avoir échoué plusieurs fois. Ces oiseaux de mauvais augures cherchent encore à déstabiliser notre pays. Ils n’ont pas compris que les Comoriens de toutes les îles sont bien réveillés.
Oui, ils sont tous avertis du passé politique de notre pays, depuis Ahmed Abdallah, Saïd Mohamed Djohar, Mohamed Taki Abdoulkarim, Mohamed Abdallah Sambi et le Président Ikililou Dhoinine. Les Comoriens sont déjà en mesure de discerner la vision du Président AZALI Assoumani. Ils ne vont pas encore rater cette révolution comme ils regrettent toujours la période de Mongoze ALI Soilihi « Rahamahullah ».
Les comoriens vont rester unis, attentifs et attendre la suite de « cette révolution lente » qui se trouve aux mains de l’artisan et son équipe.
Non, aux trainés de la Nation. Et non, aux démagogues de la Nation.
Non, à ces trainés qui préparent la déstabilisation de notre nation à la veille des élections de Mars prochain. Ces trainés de la Nation envisagent la déstabilisation du pays depuis l’île d’Anjouan avant de contaminer les autres îles.
Nous devons savoir que ces élections du Président de la République et des Gouverneurs des îles sont le garant de la stabilité de la nation comorienne. Et chacun de comorien et comorienne a le devoir de faire aboutir ces élections quel que soit le lieu où il se trouve.
Il est aussi de notre devoir pour chacun et chacune de conscientiser les jeunes de la place, car ce sont eux qui sont faciles à être entrainés dans des actes de malfrats.
Donc, combattre fermement les vampires et les politiciens véreux qui tentent vainement de détruire la Nation comorienne. Telle doit être l’objectif de tout patriote comorien à l’heure actuelle. Car traiter ou pactiser avec ces démagogues c’est pactisé avec Satan.
Nos frères Anjouanais et sœurs Anjouanaises ont intérêt d’être calmes cette fois-ci, car les analyses de l’histoire politique du pays révèlent les inégalités qui ont longtemps existé dans notre pays. Actuellement, c’est la connaissance et le savoir-faire qui compte.
Vive les Comores dans la paix et vive l’intelligence comorienne.
Le 02/01/2019 à Marseille
Djoubalasse
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