Ça n’est pas pour des raisons de loyer ni de fiscs. Au sein de la famille propriétaire du bâtiment situé à quelques pas de Gobadjou il y ...
Ça n’est pas pour des raisons de loyer ni de fiscs. Au sein de la famille propriétaire du bâtiment situé à quelques pas de Gobadjou il y a un mort. La famille n’a pas daigné demander la permission du locataire qu’est Masiwa pour occuper son local.
Les employés du journal, tôt ce matin en se rendant au boulot, sont tombés nez à nez avec des femmes assises sur des moquettes dans leur bureau. Ces femmes sont venues réconforter la famille endeuillée et prier pour la défunte. Les employés de Masiwa dans leur ensemble attendent dehors.
Et l’administration et la rédaction, elles sont paralysées pour on ne sait combien de temps car, à moins d’une réaction ferme du journal, ces femmes pourraient rester pendant trois jours selon les us et coutumes des comoriens dans des circonstances pareilles.
Et l’administration et la rédaction, elles sont paralysées pour on ne sait combien de temps car, à moins d’une réaction ferme du journal, ces femmes pourraient rester pendant trois jours selon les us et coutumes des comoriens dans des circonstances pareilles.
Ce n’est pas la première fois que le nouveau journal essaie de tels désagréments de la part des propriétaires. Pendant l’été dernier avec les multiples cérémonies de mariages dans la famille propriétaire, les employés du journal étaient obligés de s’adapter aux rythmes des festivités. Tantôt c’est la terrasse qui est occupée, tantôt c’est le hall. Le tout avec une ambiance sonore par des hauts parleurs.
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