Sounhadj Attoumane : " Je compte être candidat à la candidature pour l'élection du gouverneur de Ndzuani" Dans une interv...
Sounhadj Attoumane : " Je compte être candidat à la candidature pour l'élection du gouverneur de Ndzuani"
Dans une interview accordée au journal Alwatwan, Sounhadj Attoumane compte se lancer à la bataille pour Dar Nadjah.
« Je compte être candidat à la candidature de la mouvance présidentielle pour l’élection du gouverneur de Ndzuani. C’est à la mouvance de choisir les candidats ne serait-ce que pour les postes de gouverneurs. A Ndzuani, il faut quelqu’un qui peut maitriser l’ile.
Un gouverneur avec une envergure nationale pour en finir avec la politique de victimisation qui consiste à se réfugier dans l’insularisme. Notre candidat naturel reste Azali Assoumani s’il se déclare. »
Le conseiller du président en charge de la santé assure avoir gagner en crédibilité en restant au pouvoir. « J’en ai gagné par ce que la constance fait la crédibilité d’une personne. Si j’avais suivi l’autre parti, je me serais renié. Au second tour de l’élection présidentielle dernier, une partie du JUWA a soutenu Mouigni et une autre, Mamadou.
Une frange que j’ai incarné a fait en sorte que le président Sambi soutienne Azali. Je pense que les autres qui avaient continué leur combat contre Azali, ont fini par piéger l’ancien président. Moi je suis resté sur mes convictions. On ne peut pas tous les jours crier à la trahison dans notre parti. Je rappelle que je suis du Juwa j’y suis et je suis membre fondateur.
Je ne quitte pas mon navire comme ça. On tangue certes mais mon souhait, c’est qu’on ne reste pas une secte. Certes, le parti a disparu de l’échiquier politique mais je n’accepterai jamais qu’il soit la chose de quelqu’un. »
En ce qui concerne son rapport avec l'ancien président Sambi, Sounhadj est catégorique : « La rupture est consommée avec élégance. On s’est dit au revoir. Aujourd’hui, je n’ai plus rien à voir avec lui. Quant à sa situation, il paie les conséquences d’une gestion des gens qui étaient là, qui ont préparé leur enrichissement avant de le pousser.»
En ce qui concerne son rapport avec l'ancien président Sambi, Sounhadj est catégorique : « La rupture est consommée avec élégance. On s’est dit au revoir. Aujourd’hui, je n’ai plus rien à voir avec lui. Quant à sa situation, il paie les conséquences d’une gestion des gens qui étaient là, qui ont préparé leur enrichissement avant de le pousser.»
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