On a les larmes aux yeux quand on voit ce qu’est devenu aujourd’hui le premier journal des Comores. Autrefois, un média craint par l’...
On a les larmes aux yeux quand on voit ce qu’est devenu aujourd’hui le premier journal des Comores.
Autrefois, un média craint par l’exécutif, quasiment incontrôlable, le canard de l’Etat s’est mué en un misérable organe de propagande du régime. Une pensée pour les efforts d’Ali Amir Ahmed et Madjuwani.
Le ministre de l’Information Mohamed Daoud alias Kiki est à Riyad, capital de l’information (sic), avec le directeur du journal et deux autres mercenaires pour un sommet sur l’information dans ce pays où l’on décapite des journalistes parce que critiques à l’égard de sa majesté.
L’information a fait la Une du quotidien malgré une actualité nationale riche en «procès et verdict» d’une cour de sûreté totalement arbitraire, particulièrement inique et ouvertement politique.
Par Toyb Ahmed
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