20ème commémoration de la mort du Président Mohamed Taki Abdoulkarim. (6 novembre 1998- 6 novembre 2018). Dans l'après-midi de ...
(6 novembre 1998- 6 novembre 2018).
Dans l'après-midi de ce dimanche 4 novembre et deux jours avant la date exacte du 6 novembre pour des raisons de calendrier, s'est déroulée à la place publique MUNGAMIDJI de Mbéni, la vingtième commémoration de la mort de l'Ex-Raïs Mohamed Taki Abdoulkarim (Paix à Son Âme), en présence du Chef de l'Etat SEM Azali Assoumani.
Après la psalmodie en choeur par l'assistance de la Surat Yassine, et après la remise des « Prix Mohamed Daoudou (Kiki) » par SEM Azali Assoumani aux 5 premiers Gagnants du concours de lecture des 30 Chapitres du Saint Coran, organisé vendredi dernier sur la place publique de Mbéni, Al-Ustadh Said Ismaël Ibn Said Ahmed a prononcé le mot de bienvenue et de remerciement aux comoriens des quatre iles venus pour le recueillement et la prière en faveur de notre Regretté Mohamed Taki Abdoulkarim.
Le Grand Mufti de la République, Son Éminence Said Toihir Ibn Ahmed Maoulana a encadré ensuite, la cérémonie de prière en citant des versets et des Hadiths de Notre Prophète Muhammad Ibn Abdillah (SAW) liés aux prières destinées aux morts en basant en même temps sur les oeuvres du Regretté dès son retour au pays après ses études.
Mohamed Taki Abdoulkarim était un homme très pieux et c'est lui qui a initié les prières du Taraweh à son domicile de Vanambwani et ensuite au Palais présidentiel de Beit-Salam. Cette œuvre nest pas disparue parce que la Masdjid Al-Qasmi de Moroni a pris le relais durant le mois sacré du Ramadan.
Le Président de la République a clôturé la série des discours en parlant brièvement les actes posés par notre Regretté de la base au sommet de l’Etat, en passant en revue ses réalisations en tant qu'Agent de l'Etat dans l'ensemble de l'archipel, en passant par député de sa région et devenir Président de l'Assemblée Fédérale et enfin en étant Président de la République.
Le Chef de l’Etat est revenu comme d'habitude, sur la Paix qui est notre richesse naturelle avant le matériel, une richesse qui existe depuis que les Comores sont Comores et a demandé à l'assistance de prendre ses responsabilités dans l'éducation de sa progéniture pour garder à jamais cette Paix qui a permis à nos grands-parents et à nos parents de vivre en fraternité et en toute sécurité partout où ils se trouvent dans l'archipel.
Après la psalmodie en choeur par l'assistance de la Surat Yassine, et après la remise des « Prix Mohamed Daoudou (Kiki) » par SEM Azali Assoumani aux 5 premiers Gagnants du concours de lecture des 30 Chapitres du Saint Coran, organisé vendredi dernier sur la place publique de Mbéni, Al-Ustadh Said Ismaël Ibn Said Ahmed a prononcé le mot de bienvenue et de remerciement aux comoriens des quatre iles venus pour le recueillement et la prière en faveur de notre Regretté Mohamed Taki Abdoulkarim.
Le Grand Mufti de la République, Son Éminence Said Toihir Ibn Ahmed Maoulana a encadré ensuite, la cérémonie de prière en citant des versets et des Hadiths de Notre Prophète Muhammad Ibn Abdillah (SAW) liés aux prières destinées aux morts en basant en même temps sur les oeuvres du Regretté dès son retour au pays après ses études.
Mohamed Taki Abdoulkarim était un homme très pieux et c'est lui qui a initié les prières du Taraweh à son domicile de Vanambwani et ensuite au Palais présidentiel de Beit-Salam. Cette œuvre nest pas disparue parce que la Masdjid Al-Qasmi de Moroni a pris le relais durant le mois sacré du Ramadan.
Le Président de la République a clôturé la série des discours en parlant brièvement les actes posés par notre Regretté de la base au sommet de l’Etat, en passant en revue ses réalisations en tant qu'Agent de l'Etat dans l'ensemble de l'archipel, en passant par député de sa région et devenir Président de l'Assemblée Fédérale et enfin en étant Président de la République.
Le Chef de l’Etat est revenu comme d'habitude, sur la Paix qui est notre richesse naturelle avant le matériel, une richesse qui existe depuis que les Comores sont Comores et a demandé à l'assistance de prendre ses responsabilités dans l'éducation de sa progéniture pour garder à jamais cette Paix qui a permis à nos grands-parents et à nos parents de vivre en fraternité et en toute sécurité partout où ils se trouvent dans l'archipel.
Par Mohamed Aboudou Hamadi
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