Comment veut-on que nos Comores respirent, émergent avec des dirigeants qui submergent ?

DROLE DE POUVOIR ET SON INJUSTICE Quand l’ironie et l’humour drapent la mauvaise foi, la haine, les rancunes… ceux-ci dégoûtent et ex...

DROLE DE POUVOIR ET SON INJUSTICE

Quand l’ironie et l’humour drapent la mauvaise foi, la haine, les rancunes… ceux-ci dégoûtent et exaspèrent. Bien émétique même. Comment veut-on que nos Comores respirent, émergent avec des dirigeants qui submergent ?

Un pouvoir dont presque tous les dirigeants plein des casseroles et ayant des cadavres dans leurs placards...sont confiés la tâche d’exploiter l’antipathie, les aversions, et l’animosité… envers le prochain ?

L’une des grandes insultes que le colonel a proféré au peuple c’est de faire croire… que le camp garni de forfaiture et d’indélicatesse détient la justice pour la faire à Sambi, Sidi...C’est donc le camp de kiki, Chatur, Djaé, Djouaid Soilihi, Idarousse, Maoulana, Abou Achiraf... Passons.

Outre, mieux vaut profaner des tombes que de profaner un esprit et la une justice en est un. Voir l’écrivain SAST, l’avocat Bahsane, le médecin Chacour, l’officier Ibrahim Salim, Alphonse Mlanao, Barwan et autres, enfermés par Azali, pour des raison de tentative de coup d'Etat, c’est un monstrueux sacrilège à cette institution, c’est-à-dire la justice. Mais comment des innocents, dont aucun procès, n’a eu lieu, sont jetés dans un abysse, type du Camp Boiro de Sékoutouré, parce que le pouvoir collecte des petites raisons, pour des fantasmes et de l’avidité… Liberté pour SAST, Bahsane, Ibrahim Salim... justice pour Sambi, Sidi et autres.

Par Said Yassine Said Ahmed