Djaffar est désormais considéré comme un réfugié politique par le système des nations-unies Commissariat des réfugiés. Par ce statut il ...
Djaffar est désormais considéré comme un réfugié politique par le système des nations-unies Commissariat des réfugiés. Par ce statut il échappe ainsi à toutes poursuites.
Par ailleurs la semaine dernière l'actuel vice président, pour les uns et l'ancien pour les autres, a fait l'objet de deux enlèvements dans la capitale Tanzanienne, des Comoriens de son entourage auraient facilités ces forfaits. L'information était connue, il y a plusieurs jours mais pour des raisons de sécurité, discrétion était de mise. À présent en sécurité nous donnons l'information aux citoyens.
Néanmoins, je tiens à ne pas tirer des conclusions hâtives, des raisons de ces enlèvements intervenus en une nuit. Le premier a duré six heures, le second moins d'heure. Visiblement , ces derniers relevant plus du droit commun, que d'enlèvement politique organisé, contre 500 euros. Il fût libéré sur le champ. Cela dit, contrairement à ce que l'on pouvait penser, les Tanzaniens n'ont pas souhaité attribuer le statut de réfugié politique au vice président, certainement pour ne pas envenimer des relations déjà tendues entre les deux pays. En effet , on soupçonne, Tanzanien et Sud-Africain d'êtres les opposants au projet du président Azali au sein de l'UA.
Par Daoud Halifa
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