Il n’est pire aveugle à celui qui ne veut pas voir que l’ex-président A. A. Sambi veut échapper à tout prix à la justice pour des multiple...
Il n’est pire aveugle à celui qui ne veut pas voir que l’ex-président A. A. Sambi veut échapper à tout prix à la justice pour des multiples raisons troublantes que l’on peut les sérier comme suit.
La première raison repose indéniablement sur le fait que ce monsieur de turban vert a du sang sur les mains, c’est pour autant il se rechigne sans motif à collaborer avec la justice afin la lumière soit faite sur cette affaire de corruption. Le deuxième motif fondamental se fonde sur l’idée force que ce personnage confus cherche à semer la zizanie et le désordre, voire la rébellion sur l’ensemble du territoire. Car il se fait l’avocat de diable qu’il est soi-disant populaire.
La première raison repose indéniablement sur le fait que ce monsieur de turban vert a du sang sur les mains, c’est pour autant il se rechigne sans motif à collaborer avec la justice afin la lumière soit faite sur cette affaire de corruption. Le deuxième motif fondamental se fonde sur l’idée force que ce personnage confus cherche à semer la zizanie et le désordre, voire la rébellion sur l’ensemble du territoire. Car il se fait l’avocat de diable qu’il est soi-disant populaire.
Mais les comoriens ont pris conscience que la stratégie mise en œuvre par Sambi est d’inciter les gens à s’entretuer comme des bois. Par conséquent, ses stratagèmes sont voués à l’échec. On sait de toute évidence que son but assigné est de remuer ciel et terre pour qu’il retourne au pouvoir. La troisième raison se base foncièrement sur le fait qu’il veut dissimuler son double visage, celui de l’argent et de la religion. Sa visée intentionnelle consiste à tirer profit aux dépens du peuple. En revanche, il a oublié qu’en 2018 le population des Comores n’a pas besoin de belles paroles et des promesses en l’air.
Par ailleurs, il est inconvenable dans un pays de droit comme le nôtre qu’un simple citoyen, quel que soit son statut social, fasse fi des autorités gouvernementales. Ensuite, il importe que le peuple comorien sache que l’argent de l’Etat appartient à la nation. De plus, les biens de l’Etat ne doivent pas confisquer par des dirigeants sans aveu, mais ils doivent utiliser en bonne et due forme pour servir le peuple. Il est de même de mettre l’accent sur ce point cardinal afin que certaines personnes mal intentionnées puissent discriminer la religion et l’Etat. Il peut s’agit de deux entités différentes. Les comoriens par leur naïveté donnent beaucoup de crédit aux gens qui prêchent la parole divine, même si ce sont de prédicateurs de mauvais aloi.
En outre, il me parait ahuri et aberrant que ces hommes là qui prétendent être des anges gardiens sèment la corruption sur terre et déroutent le peuple dans la droiture. Enfin, il faut prendre acte que personne n’est au-dessus de loi quelle que soit sa fonction qu’elle avait exercée. On peut exemplifier dans le cas de figure de l’ancien président de la cinquième puissance mondiale, Monsieur Nicolas Sarkozy qui a été mis en examen. Il y a lieu de spécifier également qu’un bon nombre de dirigeants des pays développés et puissants sont comparus devant les juges pour des affaires de détournements des biens publics.
Pourquoi les comoriens ne prennent pas de modèle le cas de la France en matière de transparence économique et juridique ? De guerre lasse, il ne faudrait pas perdre de vue qu’en conformité de l’article 2 du code civil stipule que « tout fait quelconque de l’homme qui cause à autrui un dommage, oblige celui par la faute duquel il est arrivé à le réparer ». Si la justice dispose des éléments tangibles et des charges lourdes à l’encontre des instigateurs de la citoyenneté comorienne ; ils seront obligés de réparer les dommages- intérêts, c’est dire de rembourser les 100 millions de l’argent des contribuables. Enfin, le gouvernement a pleinement le droit d’arrêter des discours religieux susceptibles de susciter de trouble à l’ordre public et à l’unité nationale. Si des gens voulaient écouter des « DARASSA » pendant ce mois sacré du ramadan, on vous recommanderait de lire le noble coran chez eux car c’est plus avantageux et récompensé par Allah que d’entendre des oraisons à caractère politique. La boucle sera bouclée ! Bon Ramadan.
BACAR Azihar Abdou
Au nom de la population anjouanaise
Vivant en France