La haine n’est-elle pas une correspondance entre le moi et l’éducation reçue ? Enseigner est un métier noble, écrire est un art rése...
La haine n’est-elle pas une correspondance entre le moi et l’éducation reçue ?
Enseigner est un métier noble, écrire est un art réservé aux esprits. Défendre est un devoir du citoyen patriote et apprendre est un signe d’un être sage. Savoir se taire est l’un des signes d’un homme bien éduqué. C’est ce qui défini l’ancien vice-président de l’assemblée nationale, ancien député de Oichili-Dimani et professeur Djaé Ahamada Chanfi. Ma plume en est l’exemple vivant monsieur ARM.
Jean-Jacques Rousseau a affirmé : « pour connaître les gens, il faut les voir réagir ». Il a bien vu et bien dit. Chers Comoriens, frères et sœurs, pour connaître le mohelien ARM, le « multidocteur », il faut le voir réagir. « Multidocteur » pompiste, menteur, arnaqueur ( la communauté comorienne du Maroc l’a avoué), atterrissant dans la « plonge » pendant que le pays en a besoin. Oui, le pays a besoin de toutes les connaissances, de toutes les compétences, de tous ceux et celles qui ont quelque chose dans leurs têtes à l’instar des docteurs de toutes les disciplines pour son envol et son développement.
Feu professeur Abrouraouf Himidi de Mbeni m’a chuchoté une phrase que je porte comme souvenir de sa sagesse à part son érudition en mathématiques, je cite : « un con, c’est un con même il a un million de diplômes ».
Mentir et insulter sont les qualificatifs, l’attitude, le comportement et l’éducation des haineux, des jaloux et servir est acte qui coïncide au rapprochement de tous, de tous les espaces, là où le patriote se fait enfant du peuple, tu te fais plus puant que tes mots, nauséabond, nauséeux, fétide, répugnant, ignoble, pestilentiel, putride, empesté que ton âne. Personne ne te croira, personne ne te dira d’arrêter parce que tu ne peux pas, parce que ce sont tes gènes, parce que c’est ton gagne-pain.
Quelle est la véritable mission d’ARM ? Cessera-t-il d’être exactement et perpétuellement au service des hideux, pervers, corrompus, destructeurs, nocifs, piteux,, minables, monstrueux, diaboliques, corrupteurs et bestiaux ? Décidera-t-il de s’engager sur d’autres voies d’intellectuels affirmés et aguerris ? Le futur nous le dira mais il est dérisoire !
Koimbani est une ville sainte. Oichili l’est également. Ville et région de paix, d’éducation et des patriotes. Mbaé Trambwe, l’école de Gandze, feu Momahed Ali Mbaliya te renseigneront largement et profondément. Et c’est ici où tu viens déféquer ? Tu es maudit sans le savoir.
Ton informateur, le lieutenant-colonel de Mohamed Ali Soilihi (Mamadou) t’a mis sur la mauvaise piste. As-tu déserté l’appartement de Voidjou, juste à l’entrée de Mirereni en allant à Batsa avec ton « Seigneur ». Par principe, je ne développe rien sur ça bien que je connaisse tout. Monsieur ARM, j’ai le devoir de rafraichir ta mémoire. Koimbani, nous nous battons mais nous nous aimons. Koimbani nous nous livrons une guerre mais c’est une guerre idéologique, une guerre de vision, de pragmatisme et d’objectivité pratique. Tu ne peux pas monter ses enfants les uns contre les autres, tu ne peux pas non plus monter les enfants de Oichili les uns contre les autres. Si chez toi cela marche, chez nous ça ne marche pas désolé !
Quand j’ai lu « Mna Djaé » ça m’a vraiment fait rire car tu as prétendu humilier, discréditer, mépriser, voire sous-estimer Djaé. « Mna » que tu as employé pour le rabaisser n’est autre, dans la langue comorienne soutenue, donc celle que tu ne pourrais jamais atteindre, que le signe d’affection « moinahangu mna moinahangu ngowendo msafara tsengeleya hunu ankili nihuninke » (chanson de Tiyari Elhayat de Ntsorale Dimani). Tu as intérêt d’apprendre le secret du shingazidja monsieur le « multidocteur ».
« Tu m’as donné ta boue, j’en ai fait de l’or » Charles Baudelaire.
Quoique Djaé se heurte à de réels obstacles comme tout enfant patriote, comme tout politique, ne se dérogera jamais à sa vraie mission, celle de servir la nation. Et libre à toi de crier éternellement !
Je suis toujours tes articles et je te dis franchement que je ne trouve rien d’intéressent. Tu ne fais que mentir, manipuler, t’immiscer dans les affaires familiales, villageoises, régionales…pour détourner l’attention de tes lecteurs, pour te faire passer pour le génie, l’érudit. Mais je te comprends, nous te comprenons. Au lieu d’aborder les problématiques cruciales, essentielles qui peuvent aider le peuple comorien et la nation comorienne tu préfères jouer ce petit jeu. Tout le monde n’est pas dupe cher ARM. Tu ne peux pas les aborder car tu n’as rien à nous apporter, à nous offrir que ta haine, ta méchanceté…
Je vais te dire une chose. Je connais bien Youssouf Boina que je respecte. Je connais bien également Djaé Ahamada Chanfi, l’un de mes professeurs à l’UDC, celui que tu as qualifié de professeur des collèges. Il fait partie du corps. Renseigne-toi bien ! Il n’a pas de honte pour demander et ou pour apprendre car l’homme est un apprenti eternel.
Djaé n’est ni un berger ni un mendiant politique. Il ne pleurerait jamais pour une nomination. Jamais au grand jamais. Il ne pleurerait jamais pour une nomination de qui que ce soit. Il n’a aucune noirceur de cœur. Il est au contraire indulgent et généreux.
Pour un petit rappel l’ancien président Ikililou l’avait nommé délégué et ton « Seigneur Mamadou » a consulté Djaé Ahamada Chanfi avant toute décision.
Monsieur ARM, je te livre un secret. Le sage est comme un gros arbre. Celui-ci a des grandes branches. Ces dernières ont des branches moyennes. Et celles-ci donnent des grains. Ceux-ci seront plantés et donneront d’autres arbres. Bref, cette image est l’image de Djaé Ahamada Chanfi. Moi, je suis l’un de ses grains.
Il y a quatre types de personnes dans le monde.
- Celui qui sait qui sait qu’il sait. C’est un savant, on doit le suivre.
- Celui qui sait qui sait qui ne sait pas. Celui-ci est un dormeur, on doit le secouer et le réveiller.
- Celui qui ne sait pas qui sait qu’il ne sait pas. C’est un chercheur, on doit le guider.
Et enfin, celui qui ne sait pas qui ne sait pas qu’il ne sait pas. C’est un danger public, on doit le fuir. Et mon cher ARM, tu fais partie de la dernière catégorie.
Un poète arabe a écrit : « Nombreux sont les arbres qui poussent sur la terre, mais peu sont ceux auxquels l’on jette les pierres parce qu’ils portent leurs fleurs ».
Et Hassan Albana d’ajouter : « les arbres qui portent les fleurs, reçoivent toujours des coups de pierrres ». Ce n’est pas parce qu’il est Djaé qu’il reçoit les pierres, mais c’est parce qu’il porte ses fleurs.
Le simple Houssam Hassani