Pour les plus avisés, la Tournante est enterrée à Anjouan et à Mwali. C'est donc un régime présidentiel auto-centralisé qui va se mettr...
Pour les plus avisés, la Tournante est enterrée à Anjouan et à Mwali. C'est donc un régime présidentiel auto-centralisé qui va se mettre en place dès la validation forcée des assises par référendum ou simplement par ordonnance.
Et gare à celui qui osera mettre en cause les assises de nos experts qui méritent une journée fériée le lundi 12 Février. Un de nos brillants anjouanais, didacticien vivant à Marseille prophétise que le Gouverneur SALAMI sera balayé pour avoir osé contester les assises. Il ne fait que reprendre les menaces de Moustadroine Abdou, ancien vice Président (selon les assises) sur la vie éphémère de SALAMI dans sa fonction de Chef d'exécutif. (Lire Habarizacomores du 9 Février 2018, signé Bacar Azihar Abdou).
La population des Comores doit comprendre sur la ligne que la constitution née des accords de Fomboni va cesser d'exister dès la validation des assises. AZALI a fait en sorte qu'il peut se représenter candidat de droit (le mandat est renouvelable) à Anjouan avec les candidats anjouanais, victoire assurée selon les réalités démographiques et insulaires. AZALI peut également se représenter candidat à Mwali et là encore, rien que la région de Hambou, sa victoire est plus qu'assurée.
Les anjouanais et les mohéliens doivent savoir cette désormais vérité.
Les comoriens hostiles à ces assises et à juste titre doivent empêcher toute forme de validation car il sagirait de légitimer le maintien d'un dictateur arrogant au pouvoir jusqu' à sa mort. Comme ALI SOILIHI qui a massacré l'indépendance en moins d'un mois de sa proclamation entrainant un handicap sérieux et durable de la République, AZALI décide de donner le coup de grâce. Sacré région, le "HAMBOU".
Je fais confiance aux comoriens, aux anjouanais et mohéliens en l'occurence.
BEN ALI