Ne nous voilons pas la face! une fois validées, les conclusions des assises ouvrent la voie à une mort lente de la Tournante dès la procl...
L'argument budgétivore ne tient pas débout car la notion même de budget n'a aucun sens dans un pays où celui qui détient le pouvoir exécutif est trésorier, ordonnateur des finances qui n'a aucun compte à rendre.
Juste en campagne pour la tenue des assises, AZALI a suspendu toutes les libertés: Des stations de radios démontées, pillées, des journalistes agressés et emprisonnés, des citoyens humiliés et malmenés, des élus piétinés, des populations terrorisées par un seul homme minoritaire.
Je ne vous fais pas la photo de ce que AZALI est capable pour truquer les résultats d'un probable référendum après validation des conclusions des assises le 12 Février 2018.
Les réformes réalistes seraient de sécuriser les finances publics, en procédant à des nominations selon le mérite et non des administrations à 104% villageoise. L'exemple d'AZALI avec l'intellectuel village de Mitsoudjé est un cas d'école. La plus mauvaise des écoles. Les réformes concrètes seraient la lutte contre la corruption dont le Chef du thème centrale, juriste de formation, connait tous les contours à commencer par son monde, celui de la justice.
La partie majoritaire qui a opté d'aller à l'encontre des assises se met le doigt dans l'oeil s'elle croit que la tournante est maintenue, mais juste réformée. Il s'agit d'une énième tromperie soutenue par l'argent, la manipulation, l'interprétation dangereuse des lois et du droit. Par ses methodes, l'amateurisme des soi-disants experts nationaux, AZALI vient d'insulter l'intelligence du pays à la face du monde.
Lavons cet affront en stoppant l'aventure d'AZALI!
Où se terrent les hauts cadres et intègres comoriens pendant le pays se meurt dans l'incurie et la malhonetêté?
BEN ALI
