Régulièrement pris à partie par l’opposition dans le cadre de ses fonctions au sein du (Cpan), lui qui ne pèserait pas grand-chose politi...
Régulièrement pris à partie par l’opposition dans le cadre de ses fonctions au sein du (Cpan), lui qui ne pèserait pas grand-chose politiquement et dont le parti n’est pas reconnu légalement, Said Larifou, a répondu à ses détracteurs et n’y va pas de main morte.
Il parle de partis de pouvoir puisqu’ils seraient nés et renforcés avec le pouvoir. Selon lui, la légitimité des partis qui se gargarisent aujourd’hui repose sur les moyens de l’État.
Il parle de partis de pouvoir puisqu’ils seraient nés et renforcés avec le pouvoir. Selon lui, la légitimité des partis qui se gargarisent aujourd’hui repose sur les moyens de l’État.
«C’est bien facile d’utiliser le pouvoir pour commettre des fraudes massives, les moyens de l’État pour s’assurer les élections et venir ensuite exhiber ses élus. Ce sont des attaques qui n’honorent pas des gens qui ne veulent pas le changement. Un changement que j’incarne depuis 17 ans en étant un des éléments clés» a-t-il dit avant de donner rendez-vous à ces partis pour les prochaines élections locales, «des échéances que mon parti n’a jamais pris part». Il a tenu à rappeler que tous les partis ont toujours eu à faire avec le Ridja et pourtant «nos moyens sont limités ». «Certains de ces partis sont devancés par Ridja et ceux qui sont devant, c’est avec une différence minime mais cette fois, on verra puisque nous serons dans les élections locales pour la première fois » devait-il annoncer. Med Youssouf