Les dessous de des histoires ne font que commencer. Cet après midi la « BFC » et rendez-vous ce soir pour la citoyenneté économique : on ne...
Les dessous de des histoires ne font que commencer. Cet après midi la « BFC » et rendez-vous ce soir pour la citoyenneté économique : on ne fait pas d'omelette sans casser des œufs !
Dans l’épisode N°1 « BFC, épine ou rose ? : » Le camarade Mrimdu avait averti à ses chères lectrices et lecteurs après la révélation du journaliste du journal Al-Watwan Kamardine Soulé, que cette histoire de la BFC, cette « banque à capitaux arabes » financée par la vente des passeports comoriens, c’est une épine dans la chaire qui ne s’enlèvera pas sans déchirure de la peau. Alors que les naïfs comoriens malgré eux, sentent la douleur des épines dans la chaire, les escrocs eux, ont vu des roses. Vous étiez avertis sur ce mur que les dessous de des histoires ne font que commencer.
Aujourd’hui la radio « BFC - Épisode N°2 épine ou rose ? » : une épine dans la chaire qui ne s’enlèvera pas sans déchirure de la peau
Les dessous de des histoires ne font que commencer. Cet après midi la « BFC » et rendez-vous ce soir pour la citoyenneté économique : on ne fait pas d'omelette sans casser des œufs !
Dans l’épisode N°1 « BFC, épine ou rose ? : » Le camarade Mrimdu avait averti à ses chères lectrices et lecteurs après la révélation du journaliste du journal Al-Watwan Kamardine Soulé, que cette histoire de la BFC, cette « banque à capitaux arabes » financée par la vente des passeports comoriens, c’est une épine dans la chaire qui ne s’enlèvera pas sans déchirure de la peau. Alors que les naïfs comoriens malgré eux, sentent la douleur des épines dans la chaire, les escrocs eux, ont vu des roses. Vous étiez avertis sur ce mur que les dessous de des histoires ne font que commencer.
Aujourd’hui la radio HaYba FM, de l’ancien président de l’assemblée nationale Said Mchangama, se demande si « La BFC était effectivement une banque 100% comorienne. Et pour cause ? « C'est la conviction de la Commission d'enquête parlementaire sur la citoyenneté économique. Elle assure disposer d'éléments prouvant que les 4 milliards de fonds de garantie de la BFC proviennent de l'argent de la citoyenneté économique » et, « L'Etat doit s'approprier la banque et rendre aux Comoriens ce qui leur revient de droit ».
L’ancien président Ahmed Sambi, qui aime prendre les micros sur les réseaux sociaux, devait s’expliquer sur le comment se fait-il que la Bfc est présentée comme « banque à capitaux arabes » alors que le fond de démarrage est issu de la vente des passeports comoriens. Est-ce que l’ancien président Sambi était piégé par Bashar Kiwan ou il est complice ?
En parlant de Bashar Kiwan, ce « copropriétaire de la citoyenneté économique », vient d’être condamné à 5 ans de prison ferme par la justice Koweitienne. Pour ceux qui s’inquiètent en disant que Bashar ne pourra plus être auditionné, il n’y a pas de raison. Bashar pourra bel est bien être auditionné sans problème et espérons que l’audition aura lieu.
Quant à l’actualité du moment la citoyenneté économique, on ne fait pas d'omelette sans casser des œufs, nous allons les casser et les battre en omelette. à ce soir !
Mrimdu