L’imam Azali Assoumani et Foundi Sambi, ne seront jamais comparables. Le premier , est un chef d'Etat qui agit, le second , un grand politicien qui palabre.
L’imam Azali Assoumani et Foundi Sambi, ne seront jamais comparables. Le premier, est un chef d'Etat qui agit, le second un grand politicien qui palabre.
Le débat politique du moment, m’oblige en tant qu’observateur de prendre la parole en vue d’exprimer ma simple opinion sur les deux hommes qui influencent actuellement la vie politique nationale des Comores. Le Colonel Azali et Monsieur Ahmed Sambi, sont deux hommes politiques mais qui ne seront jamais comparables sur le plan gestionnaire des affaires de d'Etat de notre pays.
Pour comprendre cela, il suffit de voir leurs bilan , actions, visions politiques quand ils sont au pouvoir. Le résultat est flagrant. L’un, le colonel Azali, sait toujours agir, l’autre, Sambi, ne sait que se plaindre et palabrer partout. Pour Azali Assoumani , Chef de l’État actuel , est un homme d’action. Qu’on l’aime ou pas , le chef du CRC, est un homme qui décide et qui réalise ce qu’il dit. En espace d’un an, il a fait ce que Sambi n’a pas fait pendant 5 ans.
En un an, le Président Azali a électrifié le pays, a resolu le problème de pèlerinage, a donné un sens à l’agriculture en montant le prix de la vanille, en instaurant ainsi la journée nationale d’Ylang, Ylang, une promotion faisant honneur aux agriculteurs Comoriens de ce domaine.
Sur le plan de la santé , il a ouvert l’Hôpital Hombo , inauguré la construction de celle de Moroni. De plus de cela, Azali Assoumani en moins d’un an, il a bouleversé l’échiquier politique en ouvrant le dialogue politique même avec ses anciens adversaires. Tout ça avec objectif de mettre le pays sur le cap de l'émergence d’ici 2031.
L’Imam Azali, agit avec philosophie et méthodologie consistant a réconcilier les comoriens encore et encore par le dialogue qui est la seule voie de la sagesse d’un Président visionnaire.
Contrairement à son frère, Ahmed Sambi , ex président de la République . Lui , faire la politique et gouverner , il suffit de palabrer avec objectif de délabrer les succès de ses adversaires ou partenaires politiques. Cette méthode est honteuse et indigne pour quelq’un comme Sambi ,ancien Président se revendiquant le statut d’Ayatoulah.
Le chef du Parti Juwa , en attaquant la position du gouvernement comorien que son parti faisait partie sur le problème avec le Qatar, Sambi , ne fait que mettre à genoux l’image diplomatique et unitaire de notre nation à l’étranger. Honte à lui, oubliant au passage qu’ à l’époque de sa présidence, il amena de mercenaires libyens au pays soulevant la stupeur du peuple comorien . Personne n’a osé le critiquer.
Le seul qui a résisté de cette position, était le général Salimou et on sait à la fin . Le Général fut emprisonné et limogé illégalement dans l’armée qui l’a pourtant servi loyalement efficacement, pendant plus de 30 ans sans indemnité, ni retraite ni droit que ce soit.
Sambi, en effet, un grand parleur mais pas un grand président .le problème, chaque fois qu’il parle c’est pour diviser les comoriens . Conséquences ses propres amis lui quittent . Il est moment pour lui de s'interroger sur sa stratégie de faire la politique dans le pays.