La fin de la tourmente tournante? J'irai pas par quatre chemins. Qu'il proclame la fin de cette bêtise qu'il s'est glorifié...
La fin de la tourmente tournante? J'irai pas par quatre chemins. Qu'il proclame la fin de cette bêtise qu'il s'est glorifié être le chantre suivi de sa démission, cinq minutes après sa proclamation et qu'il convoque le collège électoral pour des élections présidentielles où le parlement comorien et la communauté internationale participant à la défunte tournante en seront les principaux acteurs.
N'étant pas président, AZALI n'aura aucune autorité, mais comme tous les comoriens peuvent faire acte de candidature, s'il le souhaite.
C'est à cette condition que la fin de la tournante avant Mwali est réalisable, compréhensive et peut être logique. A ceux qui guettent une fatale erreur d'Azali pour légitimer le séparatisme, je leur dis de faire un coup d'œil au rétroviseur et voir les catastrophes, les morts subites dont ont été victimes leurs prédécesseurs pour avoir briser l'unité de cet archipel bâti sur un socle islamique, tolérant et harmonieux.
J'attire l'attention de tous les politiques et cadres du pays à une réflexion poussée et sincère qui se matérialisera par des conférences dans les différentes communes des trois îles afin d'éclairer la population. Nous nous acheminons vers une aventure plus qu'ambiguë avec un Chef de l'Etat qui ne dit pas ce qu'il pense sur les sujets d'une portée nationale, notamment l'avenir institutionnel du pays, la diplomatie étrangère et les enjeux sociaux comme l'Education et la Santé.