Je crois que le Président AZALI ne se hasardera pas de s'engager dans une aventure politique dès lors que et pour dire vrai, c'est ...
Je crois que le Président AZALI ne se hasardera pas de s'engager dans une aventure politique dès lors que et pour dire vrai, c'est une minorité qui veut imposer des assises colorées d'un séparatisme programmé.
Azali à Anjouan vendredi 21 juillet 2017 |
D'abord, la petite coalition qui rêve d'une confédération, une île, un Etat où se retrouvent les partisans du RENIC, nostalgique d'un pouvoir séparatiste, répressif reclammant faussement une totale autonomie. Ensuite se greffent les nostalgiques du parti unique qui regrettent l'avénement de la démocratie par le multipartisme qui, à les entendre fragilise le pays.
Plusieurs personalités le plus souvent, soit arrivistes, soit opportunistes deviennent des militants passionnés pour un passage en force des assises. Cependant, j'estime que là où il y a le bien, il n' y a le bruit et la désobéissance civile par le refus de se présenter est de loin la solution idéale et responsable. Par ce choix non violent, deux îles seront absentes des assises.
Cest ainsi que j'estime être en droit de croire que les assises n'auront pas lieu, sinon attendront dix ans, le temps de mieux les préparer. Pendant ce temps, l'attention et je dis bien toute l'attention devrait être mobilisée pour faire de la justice une réalité, l'Education et la santé, la colonne vertébrale des Comores. Nous pouvons et devons le faire. BEN ALI
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