Deux semaines après la signature du protocole de sortie de crise entre sa société et le gouvernement, et malgré le non respect du protoco...
Deux semaines après la signature du protocole de sortie de crise entre sa société et le gouvernement, et malgré le non respect du protocole par l’ANACM, Ayad Bourhane garde toujours un sentiment de confiance au gouvernement. Très optimiste pour un dénouement heureux de cette crise, il précise dans sa déclaration qu’il n’est pas en conflit avec qui que ce soit.
Question : Malgré la décision du gouvernement et le protocole signé la semaine dernière, vous n’êtes pas autoriser à reprendre vos activités, quelle est votre réaction ?
On est tous conscient que ce n’est pas une question facile mais je suis toujours confiant. Et malgré tout, il y a une volonté manifeste du gouvernement de vouloir résoudre ce problème une fois pour toute. Cependant, je remercie au passage le président de la république pour son implication directe en mettant en place une commission spéciale pour trouver une solution à cette crise. Donc, je suis optimiste qu’une solution pérenne sera trouver dans peux de temps.
Question : Parlant de la commission mise en place par le président, vous l’aviez déjà rencontré ?
La commission composé de conseillé spécial des affaires politiques du président et le conseillé privée du président a pour vocation de rencontré le protagoniste de cette question pour facilité l’application effective du protocole d’accord. A notre niveau, on n’a pas un problème, nous sommes dans l’attente de la sortie d’une autorisation qui doit sortir de l’ANACM. Cependant, nous ne sommes pas trop ciblés par cette commission. Toutefois, nous sommes disposés à la recevoir si elle nous sollicite et nous sommes prêts à coopérer pour que nous trouvions la solution idoine.
Question : Apres la signature de l’accord la semaine dernière, tout le monde croyait a un dénouement heureux de la crise, part contre le conflit a pris une autre dimension, aviez vous confiance que cette fois-ci ça sera définitive?
D’abord je rectifie pour vous assurez qu’on n’est pas en conflit avec qui que ce soit. On est en face d’un problème d’ordre administratif qui demande une solution administratif. Il n’y a pas ni conflit avec personne une implication politique. Il faut que sa soit claire qu’on est plus des ennemie ni des adversaires puisqu’après tous ça, on sera obligé de travailler en étroite collaboration. C’est une situation normale, que si ce n’est pas nous sa serai une autre compagnie. Donc, comme je le dis, je suis optimiste et j’ai confiance à la volonté manifeste du gouvernement et je suis encore convaincu que ces hommes mandatés pour cette mission sont en mesure de trouver la solution tant entendue par tout le monde. De ce fait, je remercie le président Azali d’avoir pris cette question à cœur.
Propos recueillis par
Nakidine Hassane