Aucune date n’a encore été annoncée pour la tenue de l’élection partielle dans la région de Hada, une élection rendue nécessaire suite à la...
Aucune date n’a encore été annoncée pour la tenue de l’élection partielle dans la région de Hada, une élection rendue nécessaire suite à la disqualification du conseiller Nourdine Soula est évincé par la cour constitutionnelle.
À moins d’une grande surprise, les électeurs de la circonscription de Hada dans la région de Nyoumakelé sur l’ile d’Anjouan, ne seront vraisemblablement appelés aux urnes pour l’élection partielle afin de designer leur représentant au conseil de l’ile d’Anjouan avant trois mois. Question de loi, la CENI s’est déjà prononcé son insuffisance juridique de pourvoir organiser cette élection. A défaut d’un manque de personne pour assurer le quorum délibératif, la CENI n’a pas ni un président ni un secrétaire général mais aussi est frappée par un nombre insuffisant pour mener sa mission dans la légalité. « Logistiquement nous sommes prêt a organiser cette élection mais juridiquement on ne peut pas car pour faire un délibéré, il nouveau 11 membres sur 13 pendant que quatre membres manquent déjà dans l’Organe », avait-elle déclaré la vice-présidente de la CENI.
À défaut d’un manque de communication est de la part du gouvernement et du la CENI, la question de l’élection partielle reste un sujet à part, pourtant le conseil de l’ile d’Anjouan reste incomplet avec 18 conseiller au lieu de 19. Une situation qui laisse planer un doute au cas où les élus de l’ile devront passer a un vote. « On se jamais avancé sur une date du scrutin, car le décret nécessaire au déclenchement des élections partielles dans la circonscription de Hada n’a jamais été adopté et je doute fort que le conseil des ministres avait donné importance a cette question », a-t-il supposé un conseiller d’Anjouan sous couvert de l’anonymat.
Nakidine Hassane