Azali mène une politique très fermée ressemblant étrangement à un orchestre répétant à l'insu des curieux. Une telle approche est souve...
Azali mène une politique très fermée ressemblant étrangement à un orchestre répétant à l'insu des curieux. Une telle approche est souvent vouée à l'échec dans la mesure ou elle exclu le conseil. Quand la tonalité politique est partagée par tous ; elle garantit le succès, si elle est conçue à l'isolement; ce qui semble être le cas , elle est synonyme d'échec par l'absence de consensus , cette politique n'a aucune chance d'adhésion populaire.
Les stratagèmes en cours ne laisseront aucune place de stabilité; condition fondamentale de tout progrès , et d'ailleurs l'impopularité croissante du président en est le témoignage vivant.
Beaucoup regrettent leur choix porté sur le président ; même dans les rangs de la Crc, autrefois, on s'empressait d'affirmer son appartenance à ce parti, de nos jours rares sont ceux qui s'en réclament, c'est plutôt le desarois.
Par ailleurs; il se disait ces derniers temps qu' un gouvernement était attendu pour début janvier, jusqu'alors RAS, quelques indiscrétions laissent entendre que le remaniement en gestation les semaines dernières semblent lointaines, le président remet au lendemain de son premier anniversaire de mandat, laisse t-on entendre.
SAMBI, lui est empêtré dans le casse-tête que lui sert Azali, les deux hommes se guettent, attend que l'autre commet la faute le premier. L'attitude du président SAMBI est irrespectueux envers le peuple, l'attitude qui consiste à se taire au lieu de donner un avis sur la politique menée, SAMBI doit sortir de son mutisme pour commenter l'actualité et se prononcer, cela s'appelle le courage politique. Le Sang ; le Sang ; le Sang non ! Par Daoud Halifa
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