Après la formation, l'accompagnement et les sacrifices énormes consentis par SAID ALI MOHAMED pour la première génération des cadres de...
Après la formation, l'accompagnement et les sacrifices énormes consentis par SAID ALI MOHAMED pour la première génération des cadres de Bimbini dont nous citerons ANTOY ABDOU, SALIM ABDALLAH, NIDHOIME ATTOUMANE, MATURAF MAANFOU, SAINDOU IBRAHIM, HOUSSEINE ABDALLAH, OUSSENE HOUMADI...
Tous unis derrière le Grand SAID ALI qui mettra fin à ses études pour mieux servir Bimbini vont lancer le grand chantier de créer la deuxième génération. Une génération qui n'a pas su assurer le relais par un complexe, une ignorance des valeurs et certainement de l'ingratitude pompée par leurs parents.
La deuxième génération riche de ses docteurs, de ses ingénieurs va pécher. On n'en retiendra rien de leurs actions auprès de leur société. Ils ont même refusé d'être bimbinien par le refus de contracter mariage pour la continuité de se sentir pleinement chez soi. Même en matière d'apport personnel, je citerai le cas d'un seul qui, aux yeux de tous, je dis bien de tous, il a su toujours être à l'écoute et prêt à aider, souvent sans rien demander: feu Docteur, ASSAD SAID OMAR, assassiné probablement dans des circonstances assez floues à la fleur de l'âge. Que les jeunes de Bimbini le sachent, il était de très loin le seul meilleur de sa génération. Il n'était pas ingrat. Il savait et respectait son histoire.
Longtemps encore, il restera un modèle à imiter. Adieu! Grand frère ASSAD! Nos ingénieurs, Nos éminents médecins, Nos juristes n'ont jamais été capable de réfléchir sur le village et les rares moments où ils sont actifs est à l'occasion de la politique, apprenant ainsi aux bimbiniens l'art de la corruption, de la division et du renforcement des clans Ntsajou, Mkirijou, Mhogo, Ntakoudja, "Machababi". Il y a moins de 8 Mois, vous avez vécu, ce que je suis entrain de dire; à l'occasion des élections électriques de Mai 2016.
Bilan zéro de la deuxième génération. Certains d'entre eux, à l'instar de MOHAMED TOILI, dit AHI, dans une hypocrisie d'une politique de récupération veut s'imposer comme la seule alternative. Rempli de mauvaise foi, d'arrière pensée, l'homme souffre d'un complexe plus dur que les maux qui rongent son village. Il n'est pas crédible. Je ne désespère pas mais on a rien à attendre des DHOIHARI, ZAKI, DHOUNOURAINE, DJAFAOUNI, MUSBAHOU, SAINDOU HOUMADI, TOIBRANE, MOUCHTROU... Jeunes! Il est temps de dire assez! ces Messieurs, s'il vous plait, ont besoin de nous! poussons les à réagir puis à agir positivement et si tel n'est pas le cas, désobéissons les.
BEN ALI