Une première dame serait interpellée dans un Kwassa à Mayotte
PEUT ON PARLER DE KWASSA V I P? AU SECOURS! MAITRE FAHAMI.
Ce lundi fera date. Qui pourrait croire qu'une première dame et de surcroit, la femme de l'ex tout puissant argentier de l'île d'Anjouan serait interpellée dans un Kwassa par la Police de l'Air et des Frontières de Mayotte?
Quelqu'en soient les raisons, mes chers lecteurs et lectrices, c'est un signe qui ne trompe pas. DIEU est grand. Espérons que le guide a compris qu'il a voulu par cette décision signer un crime. J'en conclue facilement à un sacrifice humain. Sinon pourquoi, le Guide n'a pas été là, à côté de sa femme dans ce périlleux voyage? Je mesure encore une fois la dangerosité de l'homme, la dureté du coeur qui n'a pas eu froid aux yeux d'insulter SAMBI, pourtant celui qui lui a comblé de tous les honneurs.
Il commence à payer et gravement. Ce qu'il a fait n'est autre qu'un crime, sauf si Madame n'a fait qu'à sa tête, ce qui releverait de l'impossible.
Cette affaire grave m'interpelle et j'appelle le Ministre de la justice à rapidement mettre en place un tribunal d'exception pouvant limiter les pertes humaines dans le bras de mer Anjouan Mayotte. A l'inconscience des petits comoriens, rampe celle des autorités qui, hier encore, ecrasaient ces petits gens qu'ils ont détruit par la corruption.
©BEN ALI
©BEN ALI