ANKIBA A DAR NOUR Le patronat de l’île d’Anjouan a été reçu par le Président de la République au Palais présidentiel de Dar Nour à Homb...
ANKIBA A DAR NOUR
Le patronat de l’île d’Anjouan a été reçu par le Président de la République au Palais présidentiel de Dar Nour à Hombo Mutsamudu ce vendredi soir. Cette première rencontre demandée par le patronat a duré plus de 90 minutes. Plusieurs questions ont été abordées, notamment la confusion des missions de l’administration centrale et des îles et le cas d’Anjouan a été cité avec le problème du girofle et le prix plancher contraire à la loi du marché international. Mais 4 points étaient jugés primordiaux par les patrons anjouanais à savoir la Loi sur la concurrence et son non-respect par l’Etat selon eux, les agréments, les produits carnés et les problèmes fiscaux.
Le Président a dit être parfaitement au courant des problèmes du secteur privé. Il a profité de ses 10 ans de chômage pour bien comprendre les problèmes des comoriens et notamment des opérateurs économiques. Il a salué le courage des hommes et femmes d’affaires comoriens qui évoluent souvent dans un environnement hostile.
Mais il promet que ceci doit changer comme il a dit au secteur privé français le Medef, la diaspora entrepreneuriale et dans d’autres rendez-vous à l’étranger avec le monde des affaires. Pour que les investisseurs viennent dans notre pays, il est i évident que l’environnement doit être favorable d’abord pour l’investissement privé local, a dit le Président. Aucun pays dans le monde ne s’est développé grâce à la fonction publique.
Mais il promet que ceci doit changer comme il a dit au secteur privé français le Medef, la diaspora entrepreneuriale et dans d’autres rendez-vous à l’étranger avec le monde des affaires. Pour que les investisseurs viennent dans notre pays, il est i évident que l’environnement doit être favorable d’abord pour l’investissement privé local, a dit le Président. Aucun pays dans le monde ne s’est développé grâce à la fonction publique.
Ce qui fait le développement un pays c’est l’entreprenariat et Azali dit vouloir avoir un secteur privé fort et mobilisé. Il attendait le nouveau bureau du Modec pour pouvoir réunir l’ensemble du secteur national pour définir ensemble la politique nationale du secteur privé. ©Beit Salam