Le candidat élu Mr Azali Assoumani a lancé sa campagne à Anjouan serein et confiant de remporter les partielles. Dans la politique, il f...
Le candidat élu Mr Azali Assoumani a lancé sa campagne à Anjouan serein et confiant de remporter les partielles. Dans la politique, il faut choisir le bon outil, ou la bonne combinaison d’outil, la mieux adaptée à chaque situation. Le père de l’Université des Comores Azali Assoumani a choisi le peuple, sa force est le peuple comorien. Contrairement a sont adversaire Mamadou et ses colistiers qui ont débarqué à Anjouan, leurs forces est le fond publique.
Le candidat rejeté par le peuple comorien Mamadou, oublie que les règles du jeu politiques ont changé. La bipolarité a disparu, on est dans un monde multipolaire qui encourage la démocratie et la stabilité politique. Mamadou à mal informé ses agents qui le soutient, sur la réalité de la sphère politique actuelle au Comores. Il ne comprend pas qu’un président digne, qui incarne un programme de développement durable d’un pays doit être élu par son propre peuple, au lieu d’être imposé à son peuple.
Cette théorie est applicable par les grands hommes politiques des grands pays. Aujourd’hui dans un monde multipolaire, les hommes politiques des petits pays appliquent cette théorie pour mieux gérer les situations politiques et protéger les intérêts nationaux de leurs pays. Nous pouvons constater que Mamadou et ses colistiers sont loin de cette théorie. Mamadou est entré dans la scène politique des Comores de 1979-2016, sont seul bilan « ndé paré ya Bahani hénda hamahamet yalatuf ». Le Mr avait oublié que le peuple comorien l’observaient, et le jugera un jour sur sont mauvais bilan. Aujourd’hui c’est l’heure du règlement de compte. Le moment est venu, Mamadou récolte ce qu’il a semé de 1979-2016. « Hatamani wupépo yidjoundo chimdréya ».
Vive le peuple comorien , Vive la paix et démocratie.
Vive le peuple comorien , Vive la paix et démocratie.
Chanfiou Mohamed Mbae