√ Saïd M.Cheik disait un jour je cite : Sikarifanissiha nezentsi zindroidji. Ha mali, ha taanbou, ha ankili haou djingua randzi ... , √...
√ Saïd M.Cheik disait un jour je cite : Sikarifanissiha nezentsi zindroidji. Ha mali, ha taanbou, ha ankili haou djingua randzi ... ,
√ Ali soilihi disait un jour je cite: Ngaridjo henda makati harimoi ye ntsi yahatrou, heni mdrou ngoudjo handza yaké raïsse bahi owendji waho owandrou oiwo, otsoka wa farantsa wa kabila yachi Comores ...,
√ Taki abdoulkarim disait aussi un jour je cite: ngapvo makati ngapvpoidjo houdja wandrou owanantsi koino tsaha wa wa oné. Cha owandrou wawo ngoidjo handza warengué yeyezi ha nvou. Bahi owandrou wao nde maandouyi wa moindo wahé ntsi....
Ce que moi je pense
√ Si la Cour Constitutionnelle a décidé un troisième tour c'est tout simplement parce que leur pion n'a pas été choisi est loin de cela, de ce qu'elle prétend nous faire comprendre. A titre de rappel, 21 candidats sur 25 avaient demandé un recomptage des voix lors du premier tour suite aux irrégularités orchestrées par la CENI (exp: les 104%...). Aucune institution national ou internationale ne leur apportait oreil.
√ Si la C.C exhorte un piste pareil aujourd'hui, c'est pour essayer de faire élire le candidat du pouvoir et non pour le respect de notre législation. Ce qui est impossible car le fait de valider les résultats de Ngazidja en faveur de Hassani Hamadi, montre qu'aucun bureau n'a été annulé comme le propagent certains partisans de la jeunesse Mamadou en disant qu'à Mitsoudjé, même les morts ont voté.... Ce que je sais, je ne suis pas un sage comme ceux de la CC mais je suis un témoin oculaire.
Le nombre des votants à Mitsoudjé lors du premier tour reste le même qu'au deuxième tour et pourtant le camp du pouvoir n'avait rien parlé de cet "vote des morts".
√ Si tous les candidats au gouvernorat soutenus par le pouvoir ont connu un échec à Mohéli , Ngazidja et probablement à Anjouan je ne vois pas comment leur candidat aux présidentielles serait élu. Il s'agit désormais d'une mauvaise vision et une immaturité de nos institutions à gérer une crise. Une autre manière de vider nos caisses publiques (Oublions pas que ce sont les biens étatiques qui sont utilisés dans les campagnes au profit des candidats au pouvoir...)
Le message que j'adresse au peuple, Peuple comorien, nous sommes victimes depuis longtemps des maltraitances, des promesses par nos politiciens alors que personne ne mange à sa faim. Nos droits sont bafoués. Il est temps de faire valoir notre tristesse car personne ne viendra à notre secours.
Cordialement ANFANE Mdziani