Il est de destin sombre, tragique et horrible dont son existence fait penser à la course d'un soleil au zénith brusquement assombri par...
Il est de destin sombre, tragique et horrible dont son existence fait penser à la course d'un soleil au zénith brusquement assombri par l'apparition des premières étoiles. J'emprunte cette expression pour l'image d'un Comores bâti par la solidarité de quatre principaux visionnaires que rien ne diviser pour l'intérêt général. Je vais citer SAID MOHAMED CHEIKH, SAID IBRAHIM, AHMED ABDALLAH et MOHAMED AHMED, paix à leurs âmes!
Les moins avisés répètent 40 ans de gâchis, d'inconscience. Je les plains. Quelle méconnaissance de leur propre histoire, quelle ignorance de leur valeur et quelle ingratitude imbécile?
L'oeuvre grandiose de ses quatre icônes a retenti à travers le monde et a réussi à hisser le petit Comores au même rang que les immenses nations de l'Afrique, de l'Asie, de l'Amérique du Sud et de la grande Asie. Par et avec eux, les Comores ont répondu à l'appel d'une belle mutation de l'histoire: le Soleil des indépendances.
Aliénés moralement, vidés culturellement et manipulés socialement, les politiques succédant à ces hommes d'Etat et de conviction n'ont été qu'une course au pouvoir, à l'argent et au sectarisme.
Nous vivons aujourd’hui l'aboutissement de ces politiques stériles fabriquant le séparatisme, la haine et les corruptions.
De DJOHAR à IKILILOU en passant par AZALI et SAMBI, aucun Chef d'Etat n'a pu réellement faire une continuité de l'esprit patriotique de ces grands hommes qui ont tout donner pour préserver l'unité du pays.
Et voilà que des minables légitiment la séparation des îles car la distribution des moutons sacrifiés en Arabie Saoudite n'ont pas été distribués équitablement entre les trois îles, ce qui justifierait une confédération des îles. C'est une insulte à l'intelligence du pays. Et ça passe! et ça se banalise. Les auteurs ne seront nullement pas inquiétés. Ce qui est primordial et utile, c'est s'assurer du pouvoir, et d'en faire ce que l'on veut des finances de l'Etat qui devient la propreté du Président.
Les Parlement et autres institutions de lois ne sont que des symboles abstraits, instrument de Monsieur le Chef de l'Etat.
Malheureusement, les esprits critiques se bornent à critiquer juste pour pouvoir s'infiltrer et goûter au miel. A quand le changement et la conscience?
BEN ALI
HabarizaComores.com | أخبار من جزر القمر.