Après Paris, Genève et Bruxelles , une tournée politique maîtrisée et couronnée de succès, voir couverture médiatique ( Jeune Afrique, La T...
Après Paris, Genève et Bruxelles , une tournée politique maîtrisée et couronnée de succès, voir couverture médiatique (Jeune Afrique, La Tribune de Genève et Le Monde. . . . ) , HSH s'est envolé mercredi 9 mars à destination des Satates, pour une visite marathon de quatre jours.
Aux USA, où il répond à une invitation d'amis mécènes et philanthropes, et autres organisations de défense des droits de l'homme et des handicapés, l'électron libre de la politique comorienne, se rendra successivement à New York, Washington et enfin Chicago la ville du célèbre Al Capone et où est tourné le film monument «Scarfes» avec Al Pacino.
Pour Hachim SAID HASSANE, qui s'est trouvé un nouveau Challenge, à savoir la défense du monde de l'handicape, son colistier l'honorable Mchaoicha est loin d'être un handicapé.
Car voilà plus de trente ans, qu'il produit de la richesse dans le pays. Qui dit mieux ?
Les vrais handicapés comoriens selon les dires de SULTAN HACHIM, ce sont Ikililou & Co qui ont lourdement hypothéqué le destin des Comores, et qui ont fait du peuple comorien un grand bléssé de la vie.
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Mais convaincu que l'Éternel finira par livrer bataille aux côtés du peuple comorien, un peuple longtemps martyrisé, bafoué et humilié par ses dirigeants successifs, la nouvelle étoile montante de Mbadjini, fidèle à lui même, à ses idéaux , convictions et principes, a refusé de manger le pain de la perversion, et de boire le vin de la violence, qui sont à l'origine du suicide comorien.
En choisissant de ne pas choisir, SULTAN HACHIM BIN SAID HASSANE BIN SAID HACHIM BIN SULTAN AHMAD MUGNI MKU BIN SULTAN MOHAMED AL HUSSEIN, a fait le choix d'être lui même.
C'est à dire, un digne fils des Comores.
Par Chacha Mohamed
