Il n'y a qu'aux Comores où une institution censée être garante de la libre expression du peuple, peut faire à ce dernier une quenel...
Il n'y a qu'aux Comores où une institution censée être garante de la libre expression du peuple, peut faire à ce dernier une quenelle! On se croirait dans un conte à l'eau de rose, avec des personnages aussi feutrés que très peu raffinés. Un processus de corruption sans forme, où le vol est légitimé par l'instance suprême.
La Cour Constitutionnelle vient de violer la Nation en toute quiétude. Il faut croire que le viol en bande organisé n'est pas puni aux Comores.
J'en appelle aux forces vives de la Nation à ne pas se laisser berner par des malfrats sans vergogne. Nul part ailleurs sur cette planète on ne vole la victoire du peuple sans heurt. Souvenez vous ami(e)s comorien (ne)s que notre vivre ensemble est supérieur à leur supercherie. Souvenez vous de ces peuples amis qui ont su défier les tyrannies de leurs contrées. Ne laissons pas notre chère patrie en pâture à des charognards.
Messieurs de la Cour Constitutionnelle, vous venez d'anéantir l'espoir d'un peuple, mais j'ai foi en la capacité des Comorien(ne)s à défendre leurs intérêts de leur propre chef. Je vous souhaite le courroux et la malédiction du Tout Puissant car si votre volonté est de nous nuire, alors votre ruse est vaine, car Sa science est bien meilleur à vos magouilles et la vérité finit toujours par l'emporter. Courage frères et sœurs, ce n'est que l'acte 1, la suite ils la connaîtront très prochainement.
Bonne continuation aux apprentis sorciers comoriens, œuvrez et nous œuvrons. Attendez et nous attendons!
Par Assade Mohamed Yssouf
Par Assade Mohamed Yssouf