De Ahmed Abdallah Abdermane à Ikililou DHOININE, le mode des dirigeants et intellectuels comoriens est à l’invocation de la « Renaissance Co...
De Ahmed Abdallah Abdermane à Ikililou DHOININE, le mode des dirigeants et intellectuels comoriens est à l’invocation de la « Renaissance Comorienne », pour le nouveau départ du pays. Sommes-nous certains que ces politiciens qui parlent de Renaissance Comorienne savent vraiment ce que c’est ? Sommes-nous surs qu’ils parlent tous de la même chose ?
Pour renaître il faut des penseurs, il faut des révolutionnaires, il faut des personnes qui ont eu le courage de prendre des risques avec des prises de position qui leur ont souvent valu de payer leur propre vie, afin que la société entière en profite pour sortir de l’obscurantisme. Est-ce que ces politiciens sont-ils prêts à donner leurs vies pour le Comores ? Pour renaître, le Comores a-t-il pris le chemin du triomphe de la laïcité ? Le Comores est-il sur la route de célébrer la rupture totale du cordon ombilicale avec le système de spoliation rentière française ?
La réponse à ces questions est forcément non, un gros NON s’il s’agit de ces mêmes personnes.
L’IMPORTANCE DE LA RENAISSANCE COMORIENNE
Parler de la renaissance comorienne est bien car en vérité nous somme mort ; Nos vies se trouve aux mains de notre prédateur qui est la France. Sans compter de notre culture qui se fait à Marseille (le grand mariage), mais aussi nos administrations qui sont contrôlés par les colons de prêt et de loin et qui contrôle aussi nos frontières maritime en oubliant que nous somme en guerre à cause de Mayotte. C’est dégouttant d’être en guerre avec une ennemie mais on compte sur ce même ennemie de nous donner les armes de combats et les stratégies à suivre.
Pour renaître il faut des penseurs, il faut des révolutionnaires, il faut des personnes qui ont eu le courage de prendre des risques avec des prises de position qui leur ont souvent valu de payer leur propre vie, afin que la société entière en profite pour sortir de l’obscurantisme. Est-ce que ces politiciens sont-ils prêts à donner leurs vies pour le Comores ? Pour renaître, le Comores a-t-il pris le chemin du triomphe de la laïcité ? Le Comores est-il sur la route de célébrer la rupture totale du cordon ombilicale avec le système de spoliation rentière française ?
La réponse à ces questions est forcément non, un gros NON s’il s’agit de ces mêmes personnes.
L’IMPORTANCE DE LA RENAISSANCE COMORIENNE
Parler de la renaissance comorienne est bien car en vérité nous somme mort ; Nos vies se trouve aux mains de notre prédateur qui est la France. Sans compter de notre culture qui se fait à Marseille (le grand mariage), mais aussi nos administrations qui sont contrôlés par les colons de prêt et de loin et qui contrôle aussi nos frontières maritime en oubliant que nous somme en guerre à cause de Mayotte. C’est dégouttant d’être en guerre avec une ennemie mais on compte sur ce même ennemie de nous donner les armes de combats et les stratégies à suivre.
Aucun pays qui a la conscience tranquille ne peut accepter cette démagogie sauf le pays qui n’a pas d’âme comme le notre. Un pays qui n’a pas de culture que celle de la France, qui n’arrive pas à se développer que d’attendre des bailleurs de fonds qui ne font que de commerce d’enrichissements au dos des pays pauvres comme le Comores. Un pays qui laisse sa population mourir dans les océans du monde entier à cause de l’incapacité de ces gouvernants. La vraie renaissance comorienne appartient aux jeunes patriotes qui n’ont pas l’envie de réussir au dos de la population et d’être complice de la France.
Car nos politiciens ne sont pas encore en mesure d’agir au profit de tous les comoriens. Les politiciens sont comme le feu d’une petite étincelle qui se renforce petit à petit, et plus il trouve de bois à brûler, plus il en dévore.
L’ETAT DES BUSINESS MAN
Quand je reconsidère ou que j'observe l’Etat aujourd'hui florissants, je n'y vois, qu'une sorte de conspiration des riches pour soigner leurs intérêts personnels sous prétexte de gérer l'État. Il n'existe pas de moyen, pas de machination qu'ils n'inventent pour conserver d'abord et mettre en sûreté ce qu'ils ont acquis par leurs vilains procédés, et ensuite pour user et abuser de la sueur de la population en la payant le moins possible et même sans salaire de temps en temps. Ces hommes détestables, avec leur insatiable avidité, se sont partagé ce qui devrait suffire à tout le monde ; et même avec tout ça, ils sont loin, très loin d’être heureux ; Ils veulent toujours beaucoup plus.
Ceux qui ont des grandes bouches et qui disent n’importe quoi à n’importe où et à n’importe moment suivent le système universel en créant un parti politique et devenir ennemis de l’autre parti politique le moment des élections. Mais à leur échec, ils deviendront tous des alliés en oubliant qu’il ne peut y avoir d'amitié là où se trouvent la cruauté, la déloyauté, l'injustice. Entre méchants, lorsqu'ils s'assemblent, c'est un complot et non une société. Ils ne s'aiment pas mais se craignent. Ils ne sont pas amis, mais complices.
Chers jeunes comoriens les tyrans ne sont grands que parce que nous sommes à genoux.
Par : Mohamed Soighir
(Ingénieur en Informatique et Cadre Manager Coach en Développement Communautaire)
Car nos politiciens ne sont pas encore en mesure d’agir au profit de tous les comoriens. Les politiciens sont comme le feu d’une petite étincelle qui se renforce petit à petit, et plus il trouve de bois à brûler, plus il en dévore.
L’ETAT DES BUSINESS MAN
Quand je reconsidère ou que j'observe l’Etat aujourd'hui florissants, je n'y vois, qu'une sorte de conspiration des riches pour soigner leurs intérêts personnels sous prétexte de gérer l'État. Il n'existe pas de moyen, pas de machination qu'ils n'inventent pour conserver d'abord et mettre en sûreté ce qu'ils ont acquis par leurs vilains procédés, et ensuite pour user et abuser de la sueur de la population en la payant le moins possible et même sans salaire de temps en temps. Ces hommes détestables, avec leur insatiable avidité, se sont partagé ce qui devrait suffire à tout le monde ; et même avec tout ça, ils sont loin, très loin d’être heureux ; Ils veulent toujours beaucoup plus.
Ceux qui ont des grandes bouches et qui disent n’importe quoi à n’importe où et à n’importe moment suivent le système universel en créant un parti politique et devenir ennemis de l’autre parti politique le moment des élections. Mais à leur échec, ils deviendront tous des alliés en oubliant qu’il ne peut y avoir d'amitié là où se trouvent la cruauté, la déloyauté, l'injustice. Entre méchants, lorsqu'ils s'assemblent, c'est un complot et non une société. Ils ne s'aiment pas mais se craignent. Ils ne sont pas amis, mais complices.
Chers jeunes comoriens les tyrans ne sont grands que parce que nous sommes à genoux.
RÉVEILLONS NOUS ET METTRONS NOUS DEBOUT POUR UN NOUVEAU DÉPART DE NOTRE PAYS.
Par : Mohamed Soighir
(Ingénieur en Informatique et Cadre Manager Coach en Développement Communautaire)