Non le rédacteur en chef d’Altwawn ne m’a pas surpris en flagrant délit avec sa femme ni sa mère, comme prétendent certains, choqués par la...
Non le rédacteur en chef d’Altwawn ne m’a pas surpris en flagrant délit avec sa femme ni sa mère, comme prétendent certains, choqués par la tentative canulardesque sur ma prétendue arrestation pour tentative d’introduction frauduleuse de crocodiles. On sait que le rédacteur d’Altwawn souffre d'une profonde crise manio-dépressive suite au refus d’un énorme candidat de le prendre comme responsable de la communication.
En ce moment il est dans la phase maniaque.
Les faits sont simples. Il a surpris avant-hier, derrière Radio Ngazidja, son père, bisexuel notoire de la génération 50-60, avec, oui je l’avoue, un cousin à moi, qui me ressemble assez. En fait un enfant illégitime d’un de mes oncles putatifs.
Il est parti directement à la gendarmerie alerter le Commandant Baco Hassan, de ma prétendue arrivée du Kenya avec des crocodiles. Après, Intertrade, les lézards, les crocodiles dans une île sans cours d’eau. Ça fait classe. Un échelon de plus dans les campagnes anti Mchangama, depuis que je hante la classe politique comorienne. Dites toujours, il en restera quelque chose.
Des représentants des forces de l’ordre qui suivent un atelier que j’anime depuis une semaine sur le syndrome Charlie Hebdo dans les pays les moins avancés (SCHPMA), voulaient faire arrêter le rédacteur sur le champ, pour mensonges, faux témoignages et crise mentale déversée dans les locaux des forces de l’ordre. Mais le commandant Baco Hassan, fit déployer 150 militaires, gendarmes et policiers municipaux de Hamanvu ouest à Hahaya. Il croyait plaire à Mbaba le Fort, ignorant que le rédacteur en chef ne fait plus partie de l’entourage immédiat du candidat. Seul 8 sacs Chanel de contrefaçon, en faux crocodile, furent saisis par la douane, dans les sacs de la tante du rédacteur. Elle prétend qu’elle voulait les offrir aux 4 possibles Premières dames (2 chacune). Selon des rumeurs persistantes, Altwawn serait financé par la contrebande de la tante et les amours du vieux papa du rédacteur en chef.
Merci à tous ceux qui, des Comores et d’ailleurs, m’ont appelé pour avoir de mes nouvelles ; preuve qu'Altwawn a du chemin à faire pour que ses brouillons soient compris comme de l’humour vache. Non à la plainte unie des journalistes d’Alwatwan, du Canard Enchaîné et Charlie Hebdo -pour tentative d’usurpation d’identité, plagiat et lassitude précoce devant nouveauté. Laisser Al Twawn apaiser sa faim de notoriété et faire l’apprentissage du journalisme satirique. Soyons vaches. He! he !
Aveu : j’adore la viande de crocodile.