L'opposition comorienne aux élections présidentielles et des gouverneurs s'est réunit ce lundi matin à Moroni. Presque tous les Can...
L'opposition comorienne aux élections présidentielles et des gouverneurs s'est réunit ce lundi matin à Moroni. Presque tous les Candidats aux élections du 21 février et 10 avril 2016 étaient présent.
L'objectif était de pencher sur les manquements de la CENI et les abus multiformes des candidats du pouvoir en place dans l'ensemble du territoire nationale. L'utilisation des moyens de l'Etat pour la Campagne de l'UPDC sous les yeux des organes et institutions chargées de lutter contre ces abus anti - républicains.
Des entorses au code électorale se font sous le nez et la barbe de la CENI sans que celle-ci bouge le petit doigt or, c'est la seule organe qui a les outils et les moyens de lutter contre la corruption électorale et l'utilisation des moyens de l'Etat. Mais hélas, comme dit l'Adage " les chiens aboient, la caravane passent". D'ailleurs c'est ce que les partisans de La première Dame disent suite à la dénonciation de la CEII de Mwali contre leur candidate.
Aujourd'hui la CENI est une coquille vide car elle ne fonctionne et ne fonctionnera jamais correctement pour cause, elle est scindée en deux :
une partie pour le Dr Djaza et une autre pour Mze DAFINE, l'un serait l'agent spécial de l'Etat implanté à la CENI pour faire élire les Candidat du Parti au Pouvoir, l'autre serait celui qui veut a ce que le Code soit respecté à la lettre, ce qui dérange Beit Salam.
En temps normal, le Conseil de la CENI est censé se réunir chaque mardi mais depuis la dernière arrestation de Dafine et son collègue et la démission de la Commissaire qui était chargé de la Communication, il n'y a pas eu de conseil faute de quorum et de méfiance.
À la lumière de ce qui précède, les opposants et les candidats présents ont pris la décision suivante:
En ce qui concerne le changement des deux Commissaires de la CENI, le chef de l'Etat n'avait pas à le faire et sa décision n'est pas l'égale au regard de la Loi puisque ce n'est pas lui qui avait nommé Dafiné.
En respectant le parallélisme des formes, on ne peut défaire que ce qu'on a fait.
L'objectif était de pencher sur les manquements de la CENI et les abus multiformes des candidats du pouvoir en place dans l'ensemble du territoire nationale. L'utilisation des moyens de l'Etat pour la Campagne de l'UPDC sous les yeux des organes et institutions chargées de lutter contre ces abus anti - républicains.
Des entorses au code électorale se font sous le nez et la barbe de la CENI sans que celle-ci bouge le petit doigt or, c'est la seule organe qui a les outils et les moyens de lutter contre la corruption électorale et l'utilisation des moyens de l'Etat. Mais hélas, comme dit l'Adage " les chiens aboient, la caravane passent". D'ailleurs c'est ce que les partisans de La première Dame disent suite à la dénonciation de la CEII de Mwali contre leur candidate.
Aujourd'hui la CENI est une coquille vide car elle ne fonctionne et ne fonctionnera jamais correctement pour cause, elle est scindée en deux :
une partie pour le Dr Djaza et une autre pour Mze DAFINE, l'un serait l'agent spécial de l'Etat implanté à la CENI pour faire élire les Candidat du Parti au Pouvoir, l'autre serait celui qui veut a ce que le Code soit respecté à la lettre, ce qui dérange Beit Salam.
En temps normal, le Conseil de la CENI est censé se réunir chaque mardi mais depuis la dernière arrestation de Dafine et son collègue et la démission de la Commissaire qui était chargé de la Communication, il n'y a pas eu de conseil faute de quorum et de méfiance.
À la lumière de ce qui précède, les opposants et les candidats présents ont pris la décision suivante:
- Écrire une lettre ouverte au Président de la République, censé être garant des institutions et supposé être, Magistrat suprême du pays pour lui mettre devant ses responsabilité si l'Unité Nationale et la cohésion sociale allaient en souffrir à cause de cette décision.
- Demander un Rendez vous avec lui, pour lui dire tout cela de vive voix et le mettre en garde.
- En suite, saisir la Cour Constitutionnelle en s'appuyant sur le rapport de la cour des compte statuant qu'il y a eu malversation au sein de la CENI et demander la dissolution pure et simple de cet organe.
- Enfin, nous comptons organisé une démonstration de force sur Moroni en appelant chaque candidat à appeler ses sympathisants à venir manifester sur le Mercredi prochain Inshallah, mais puisque tout le monde n'était pas là, bien évidemment, on voudrait d'abord informer tout le monde même si on sait qu'il y a des candidats du Pouvoir introduit partout.
En ce qui concerne le changement des deux Commissaires de la CENI, le chef de l'Etat n'avait pas à le faire et sa décision n'est pas l'égale au regard de la Loi puisque ce n'est pas lui qui avait nommé Dafiné.
En respectant le parallélisme des formes, on ne peut défaire que ce qu'on a fait.