MON DIEU! BARRE LE CHEMIN AUX SÉPARATISTES MALINTENTIONNÉS EN CES ÉLECTIONS: AMEN! Ils sont vingt neuf candidats ayant déposé leur dossie...
MON DIEU! BARRE LE CHEMIN AUX SÉPARATISTES MALINTENTIONNÉS EN CES ÉLECTIONS: AMEN!
Ils sont vingt neuf candidats ayant déposé leur dossier de candidature pour le fauteuil de Chef de l'Etat. Ils sont repartis en trois groupes:
le premier est constitué de ceux qui ont goûté au miel du pouvoir et qu'ils ne voudraient en aucun cas y renoncer.
Le deuxième groupe se compose des jeunes cadres qui, assoiffés de pouvoir, voudraient eux aussi s'en emparer pour goûter au pouvoir de l'argent facile et du luxe insolent.
Le troisième et le plus minoritaire est celui de ceux qui y croient à une possibilité de changer la donne et penser au peuple. Mais sans marge de manoeuvre, ils restent à la marge de la politique à la comorienne.
J'appelle la population à un rejet de cette classe politique qui les ignore et qui n'a aucun projet de société digne. Dans un pays où l'électricité est un luxe réservé, où les soins sont un parcours de combattant, où l'accès à l'éducation pose énormément de problème, le citoyen est un mort vivant s'il n'appartient pas à la lignée de sang ou politique du Chef de l'Etat ou de son cercle immédiat.
Pour un archipel de moins un millions d'habitants au ressources abondantes (fertilité de la terre, mer poissonneuse, climat subtropical, paysage touristique inégalé...), nos dirigeants, nos innombrables superstructures budgétivores appauvrissent les plus pauvres dans une fatalité sans précédente.
Avec une telle constitution et surtout avec des hommes qui ne visent que le pouvoir pour le pouvoir, le vote du peuple sert à légitimer la corruption, la gabégie et le non droit. Ceux qui sont au pouvoir continuent à dilapider les maigres ressources, à acheter les consciences, à recruter des milliers d'agents juste le temps d'organiser les élections. Malheureusement, ces corrompus n'ont pas le choix, acculés par la misère et la survie.
J'appelle à ceux qui ont un brin de conscience et d'honnêteté intellectuelle à boycotter ces mascarades et à sensibiliser le peuple sur ses droits, sa souveraineté et sa capacité de changer les choses. Il suffit de traduire en acte:" nous refusons l'injustice, la corruption et la pauvreté".
Récemment, le Bourkina Fasso nous a démontré que le peuple est plus fort que la plus grande armée du monde.
Et si le jour de ces élections étaient l'occasion de casser l'échine de cet appareil qui fabrique la misère par l'affirmation du refus de subir de tout un peuple dans la rue, imposant sa loi, celle de la supériorité numérique!
BEN ALI.
Ils sont vingt neuf candidats ayant déposé leur dossier de candidature pour le fauteuil de Chef de l'Etat. Ils sont repartis en trois groupes:
le premier est constitué de ceux qui ont goûté au miel du pouvoir et qu'ils ne voudraient en aucun cas y renoncer.
Le deuxième groupe se compose des jeunes cadres qui, assoiffés de pouvoir, voudraient eux aussi s'en emparer pour goûter au pouvoir de l'argent facile et du luxe insolent.
Le troisième et le plus minoritaire est celui de ceux qui y croient à une possibilité de changer la donne et penser au peuple. Mais sans marge de manoeuvre, ils restent à la marge de la politique à la comorienne.
J'appelle la population à un rejet de cette classe politique qui les ignore et qui n'a aucun projet de société digne. Dans un pays où l'électricité est un luxe réservé, où les soins sont un parcours de combattant, où l'accès à l'éducation pose énormément de problème, le citoyen est un mort vivant s'il n'appartient pas à la lignée de sang ou politique du Chef de l'Etat ou de son cercle immédiat.
Pour un archipel de moins un millions d'habitants au ressources abondantes (fertilité de la terre, mer poissonneuse, climat subtropical, paysage touristique inégalé...), nos dirigeants, nos innombrables superstructures budgétivores appauvrissent les plus pauvres dans une fatalité sans précédente.
Avec une telle constitution et surtout avec des hommes qui ne visent que le pouvoir pour le pouvoir, le vote du peuple sert à légitimer la corruption, la gabégie et le non droit. Ceux qui sont au pouvoir continuent à dilapider les maigres ressources, à acheter les consciences, à recruter des milliers d'agents juste le temps d'organiser les élections. Malheureusement, ces corrompus n'ont pas le choix, acculés par la misère et la survie.
J'appelle à ceux qui ont un brin de conscience et d'honnêteté intellectuelle à boycotter ces mascarades et à sensibiliser le peuple sur ses droits, sa souveraineté et sa capacité de changer les choses. Il suffit de traduire en acte:" nous refusons l'injustice, la corruption et la pauvreté".
Récemment, le Bourkina Fasso nous a démontré que le peuple est plus fort que la plus grande armée du monde.
Et si le jour de ces élections étaient l'occasion de casser l'échine de cet appareil qui fabrique la misère par l'affirmation du refus de subir de tout un peuple dans la rue, imposant sa loi, celle de la supériorité numérique!
BEN ALI.