LETTRE OUVERTE A LA JEUNESSE COMORIENNE Chers Collègues. D’ici peu de temps, dans moins de quatre mois, les comoriennes et les comoriens ser...
LETTRE OUVERTE A LA JEUNESSE COMORIENNE
Chers Collègues.
D’ici peu de temps, dans moins de quatre mois, les comoriennes et les comoriens seront appelés à élire le président de l’union des Comores, un président qui doit être impérativement un grand comorien « mgazidjeen » selon la constitution du 23/12/2001 instituant l’union des Comores et une présidence tournante entre les îles, selon l’article (46) de la constitution de l’union de Comores portant harmonisation des élections. Nous le constatons et savons très bien que les candidatures se multiplient d’une manière exagérée dans chaque île plus particulièrement à Ngazidja où le conflit et le « chahawa » du pouvoir ont atteint un niveau incalculable.
Par conséquent, chaque candidat tente ou tentera d’une manière ou d’une autre, de séduire cet électorat et de l’amener à son camps son idée, son sens de responsabilité, sa volonté et sa capacité de transformer la vie de ses compatriotes et surtout de prouver sa volonté de défendre l’intérêt de l’ile qu’il souhaite présenter au sein de l’union.
Je tiens à vous rappeler en tant que historien en formation que l’histoire a déjà démontré l’incapacité et l’insuffisance de nos hommes politiques déjà au gouvernail de notre cher pays et plus particulièrement ceux qui nous gouvernent aujourd’hui, de pouvoir changer les conditions précaires des comoriens. Ainsi, une question mérite d’être posée : Qu’en passons- nous de cela ?
Et selon le journaliste de RFI, ALAIN FOKA « nul n’a le droit d’effacer une page d’histoire d’un pays car un peuple sans histoire est un monde sans âme »
Sur ce, chacun d’entre nous est libre de cogiter d’une manière indépendante en long et en large sur le sort de notre aimable pays. Il constatera le degré de haine »ROHOMBI »dans laquelle vit la classe politique de notre pays.
Même la nouvelle génération comorienne est attaquée par la « maladie » et pourtant on a cru beaucoup à eux, malgré tout, aujourd’hui, certainnes jeunes comoriennes surtout ressortissantes de l’université des Comores n’ont confiance en l’homme politique comorien, son statut est bafoué. On l’a vu lors des élections des députes et des conseiller s des iles ou des corruptions au niveau des instances chargées des élections (CENI, CEI, CECI…..)Cette corruption était orchestre r par le gouverneur de l’ile de Ngazidja .
Rappel, l’ancien président de l’union des Comores pour la tournante d’anjouan, Ahmed Abdallah Sambi n’a rien fait que des discours sans suivi, mensonge, des inaugurations et pose de première pierre sans suite. Celui-ci ne fait que du semblant et prend la population comorienne sur tout les jeunes instruits comme jouées, des suivistes aveugles et affamés(mtsowona moi tsouparowona).je tiens à lui dire « yehatalewo ».Est ce que Ahmed Abdallah Sambi (les mensonges) et le gouverneur de l’ile de Ngazidja (les contrats bidons) considèrent les comoriens comme des imbéciles en utilisant l’expression « l’espoir fait vivre les imbéciles ».en tout cas le passé a déjà montré l’inefficacité et l’incapacité de ces gens la.je tiens à rappeler monsieur le gouverneur de Ngazidja qu’un jour (moins de 7 mois )il sera un citoyen comme nous et c’est la ou on aura la chance de lui dire ce qu’il a fait pour notre île.
Voila pourquoi, j’ai décidé d’écrire cette lettre dont l’objectif est de réveiller le prétendant à la magistrature suprême de notre cher pays et de rappeler leur mission et devoir.ils doivent réhabiliter l’image de notre pays, lutter contre le népotisme, le communautarisme et engager notre cher pays dans la voie du développement. Et dire en fin que les discours n’effacent jamais les problèmes, la crise et la misère ; Mais seul la volonté et le savoir sont capables de donner une solution favorable à la population comorienne et capotés surtout les désespoirs.
Néanmoins, c’est à nous qui vont voter tôt ou tard, donc Ahmed Abdallah Sambi et Mouigni Baraka Said Soilihi méritent des sanctions, des licenciements dans la scène politique des Comores car ils font pires que leurs précédents.
Certes, mon objectif est de conscientiser les jeunes face aux élections en novembre 2016, d’aller choisir d’une manière rationnelle et d’arrêter le système du favoritisme et du clientélisme. Surtout de savoir que le gouverneur de l’ile de Ngazidja a trahi les « wagazidja »
Et je tiens encore à rappeler au future président, que l’élu qui trahi son peuple comme le gouverneur Mouigni Baraka,sera un jour amène à rendre compte devant les hommes et devant Dieu et que nul ne peut, enfin, voiler la face lors de la réunion à la grande estrade.
Fait le 13 /12 /2015 par
ISMAEL MOHAMED BACAR alias « OBAMA »,
Chers Collègues.
D’ici peu de temps, dans moins de quatre mois, les comoriennes et les comoriens seront appelés à élire le président de l’union des Comores, un président qui doit être impérativement un grand comorien « mgazidjeen » selon la constitution du 23/12/2001 instituant l’union des Comores et une présidence tournante entre les îles, selon l’article (46) de la constitution de l’union de Comores portant harmonisation des élections. Nous le constatons et savons très bien que les candidatures se multiplient d’une manière exagérée dans chaque île plus particulièrement à Ngazidja où le conflit et le « chahawa » du pouvoir ont atteint un niveau incalculable.
Par conséquent, chaque candidat tente ou tentera d’une manière ou d’une autre, de séduire cet électorat et de l’amener à son camps son idée, son sens de responsabilité, sa volonté et sa capacité de transformer la vie de ses compatriotes et surtout de prouver sa volonté de défendre l’intérêt de l’ile qu’il souhaite présenter au sein de l’union.
Je tiens à vous rappeler en tant que historien en formation que l’histoire a déjà démontré l’incapacité et l’insuffisance de nos hommes politiques déjà au gouvernail de notre cher pays et plus particulièrement ceux qui nous gouvernent aujourd’hui, de pouvoir changer les conditions précaires des comoriens. Ainsi, une question mérite d’être posée : Qu’en passons- nous de cela ?
Et selon le journaliste de RFI, ALAIN FOKA « nul n’a le droit d’effacer une page d’histoire d’un pays car un peuple sans histoire est un monde sans âme »
Sur ce, chacun d’entre nous est libre de cogiter d’une manière indépendante en long et en large sur le sort de notre aimable pays. Il constatera le degré de haine »ROHOMBI »dans laquelle vit la classe politique de notre pays.
Même la nouvelle génération comorienne est attaquée par la « maladie » et pourtant on a cru beaucoup à eux, malgré tout, aujourd’hui, certainnes jeunes comoriennes surtout ressortissantes de l’université des Comores n’ont confiance en l’homme politique comorien, son statut est bafoué. On l’a vu lors des élections des députes et des conseiller s des iles ou des corruptions au niveau des instances chargées des élections (CENI, CEI, CECI…..)Cette corruption était orchestre r par le gouverneur de l’ile de Ngazidja .
Rappel, l’ancien président de l’union des Comores pour la tournante d’anjouan, Ahmed Abdallah Sambi n’a rien fait que des discours sans suivi, mensonge, des inaugurations et pose de première pierre sans suite. Celui-ci ne fait que du semblant et prend la population comorienne sur tout les jeunes instruits comme jouées, des suivistes aveugles et affamés(mtsowona moi tsouparowona).je tiens à lui dire « yehatalewo ».Est ce que Ahmed Abdallah Sambi (les mensonges) et le gouverneur de l’ile de Ngazidja (les contrats bidons) considèrent les comoriens comme des imbéciles en utilisant l’expression « l’espoir fait vivre les imbéciles ».en tout cas le passé a déjà montré l’inefficacité et l’incapacité de ces gens la.je tiens à rappeler monsieur le gouverneur de Ngazidja qu’un jour (moins de 7 mois )il sera un citoyen comme nous et c’est la ou on aura la chance de lui dire ce qu’il a fait pour notre île.
Voila pourquoi, j’ai décidé d’écrire cette lettre dont l’objectif est de réveiller le prétendant à la magistrature suprême de notre cher pays et de rappeler leur mission et devoir.ils doivent réhabiliter l’image de notre pays, lutter contre le népotisme, le communautarisme et engager notre cher pays dans la voie du développement. Et dire en fin que les discours n’effacent jamais les problèmes, la crise et la misère ; Mais seul la volonté et le savoir sont capables de donner une solution favorable à la population comorienne et capotés surtout les désespoirs.
Néanmoins, c’est à nous qui vont voter tôt ou tard, donc Ahmed Abdallah Sambi et Mouigni Baraka Said Soilihi méritent des sanctions, des licenciements dans la scène politique des Comores car ils font pires que leurs précédents.
Certes, mon objectif est de conscientiser les jeunes face aux élections en novembre 2016, d’aller choisir d’une manière rationnelle et d’arrêter le système du favoritisme et du clientélisme. Surtout de savoir que le gouverneur de l’ile de Ngazidja a trahi les « wagazidja »
Et je tiens encore à rappeler au future président, que l’élu qui trahi son peuple comme le gouverneur Mouigni Baraka,sera un jour amène à rendre compte devant les hommes et devant Dieu et que nul ne peut, enfin, voiler la face lors de la réunion à la grande estrade.
Fait le 13 /12 /2015 par
ISMAEL MOHAMED BACAR alias « OBAMA »,
Enseignant d’histoire-géographie