L’ambassadeur de France à la rencontre des handicapés à l’occasion de la journée internationale du 3 novembre Mesdames, Messieurs, chers ami...
L’ambassadeur de France à la rencontre des handicapés à l’occasion de la journée internationale du 3 novembre
Mesdames, Messieurs, chers amis,
Je suis heureux ce midi de me retrouver parmi vous au foyer des femmes pour célébrer la journée du handicap.
Le handicap n’est pas une malédiction et trop souvent encore, de nombreuses personnes handicapées sont discriminées par leurs semblables dits « normaux ». Ces derniers souvent ignorants ou lâches préfèrent fuir ou se moquer au lieu de se laisser aller aux penchants nobles de l’empathie et de la solidarité.
Dans une société comme les Comores où beaucoup n’ont pas accès aux besoins de base, la prise en charge du handicap n’est pas une priorité.
Et pourtant, nous ne pouvons rester indifférents au sort de celles et de ceux qui souffrent et qui, par leur handicap, se trouvent confrontés au quotidien aux pires difficultés.
L’ambassade de France, en collaboration avec la mairie de Moroni, a souhaité en ce 3 novembre vous mettre à l’honneur. J’aimerais que tous les Comoriens comprennent que les handicapés sont des hommes et des femmes comme les autres, qu’ils ont des familles, élèvent des enfants, travaillent, créent et à ce titre n’ont pas besoin de pitié ou de condescendance mais méritent le respect et attendent de nous de l’entraide et de la fraternité.
Il ne s’agit pas d’appeler l’attention sur vous seulement une journée par année mais de faire de cette journée un moment de prise de conscience pour permettre l’intégration des handicapés dans la société comorienne.
Je remercie le maire de Moroni pour la réalisation de ce projet et le foyer des femmes pour leur accueil.
Bon appétit à toutes et à tous.
Mesdames, Messieurs, chers amis,
Je suis heureux ce midi de me retrouver parmi vous au foyer des femmes pour célébrer la journée du handicap.
Dans une société comme les Comores où beaucoup n’ont pas accès aux besoins de base, la prise en charge du handicap n’est pas une priorité.
Et pourtant, nous ne pouvons rester indifférents au sort de celles et de ceux qui souffrent et qui, par leur handicap, se trouvent confrontés au quotidien aux pires difficultés.
L’ambassade de France, en collaboration avec la mairie de Moroni, a souhaité en ce 3 novembre vous mettre à l’honneur. J’aimerais que tous les Comoriens comprennent que les handicapés sont des hommes et des femmes comme les autres, qu’ils ont des familles, élèvent des enfants, travaillent, créent et à ce titre n’ont pas besoin de pitié ou de condescendance mais méritent le respect et attendent de nous de l’entraide et de la fraternité.
Il ne s’agit pas d’appeler l’attention sur vous seulement une journée par année mais de faire de cette journée un moment de prise de conscience pour permettre l’intégration des handicapés dans la société comorienne.
Je remercie le maire de Moroni pour la réalisation de ce projet et le foyer des femmes pour leur accueil.
Bon appétit à toutes et à tous.
Par AmbaFrance