GUERRE – Depuis les attentats du 13 novembre, la France a multiplié les bombardements contre le groupe Etat islamique en Syrie et en Irak, l...
GUERRE – Depuis les attentats du 13 novembre, la France a multiplié les bombardements contre le groupe Etat islamique en Syrie et en Irak, les rendant quotidiens. Cette intensification aurait conduit à un probable déficit de munitions : la France a dû passer commande auprès des Etats-Unis.
A trop vouloir frapper Daech, la France se retrouverait sans munitions. Selon des informations du Monde, le ministère de la Défense aurait passé une commande en urgence auprès des Etats-Unis pour renflouer le stock français de "quelques centaines de bombes guidées GBU" précise le quotidien. L'intensification des frappes contre Daech en Syrie et en Irak en serait la cause.
Au lendemain des attentats du 13 novembre à Paris, les Etats-Unis ont fourni des "dossiers d'objectifs clés en main" à la France, écrit Le Monde. Le 15 novembre, la France intensifiait le nombre de frappes sur les positions du groupe Etat islamique, notamment à Raqqa, le fief de l'organisation. Dix avions ont ainsi largué une soixantaine de bombes sur la ville syrienne en trois jours.
"On tire en ce moment beaucoup plus qu'en Libye en 2011", souligne un expert de l'armée de l'air auprès du quotidien du soir. La participation française dans les bombardements de la coalition internationale contre Daech est passée de 5% à 20% sur les dix derniers jours grâce à l'implication des chasseurs embarqués sur le porte-avions Charles-De-Gaulle, déployé au large de la Syrie. Le nombre de chasseurs engagés a ainsi fait plus que tripler, passant de 12 à 38.
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Le Monde rapporte également que les frappes françaises contre Daech en Syrie et en Irak sont devenues "quotidiennes". Depuis plus d'un an, 680 bombes ont été larguées, dont l'essentiel en 2015. Un chiffre qui n'est pas communiqué publiquement, comme celui du bilan humain des bombardements, estimé à un millier de combattants de Daech. Au 3 décembre, le bilan officiel faisait état de "2500 sorties aériennes, 321 frappes et 580 objectifs détruits".
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A trop vouloir frapper Daech, la France se retrouverait sans munitions. Selon des informations du Monde, le ministère de la Défense aurait passé une commande en urgence auprès des Etats-Unis pour renflouer le stock français de "quelques centaines de bombes guidées GBU" précise le quotidien. L'intensification des frappes contre Daech en Syrie et en Irak en serait la cause.
Au lendemain des attentats du 13 novembre à Paris, les Etats-Unis ont fourni des "dossiers d'objectifs clés en main" à la France, écrit Le Monde. Le 15 novembre, la France intensifiait le nombre de frappes sur les positions du groupe Etat islamique, notamment à Raqqa, le fief de l'organisation. Dix avions ont ainsi largué une soixantaine de bombes sur la ville syrienne en trois jours.
Des bombardements devenus quotidiens
"On tire en ce moment beaucoup plus qu'en Libye en 2011", souligne un expert de l'armée de l'air auprès du quotidien du soir. La participation française dans les bombardements de la coalition internationale contre Daech est passée de 5% à 20% sur les dix derniers jours grâce à l'implication des chasseurs embarqués sur le porte-avions Charles-De-Gaulle, déployé au large de la Syrie. Le nombre de chasseurs engagés a ainsi fait plus que tripler, passant de 12 à 38.
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Le Monde rapporte également que les frappes françaises contre Daech en Syrie et en Irak sont devenues "quotidiennes". Depuis plus d'un an, 680 bombes ont été larguées, dont l'essentiel en 2015. Un chiffre qui n'est pas communiqué publiquement, comme celui du bilan humain des bombardements, estimé à un millier de combattants de Daech. Au 3 décembre, le bilan officiel faisait état de "2500 sorties aériennes, 321 frappes et 580 objectifs détruits".
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Par metronews