De la double nationalité à la conquête de Beit Salam
Au moment de l’indépendance, les Africains ont automatiquement perdu la nationalité française et ont gagné le droit d’être à nouveau eux-mêmes. Mais combien de leurs dirigeants ont conservé la double nationalité ?
Je ne remets pas en cause la double citoyenneté pour tous les citoyens mais lorsque l’on s’engage en politique, l’on fait un choix et l’on ne peut défendre les intérêts de deux pays. Trop souvent à cause de leur incapacité et de leur cupidité, les dirigeants africains viennent s’exiler en France en qualité de Français en profitant des fonds détournés !
La France fut l’un des États les plus colonisateurs d’Afrique. Les Français n’ont pas seulement été des bâtisseurs – routes, hôpitaux, chemins de fer –, ils ont, aussi, malheureusement substitué leur système politique à celui existant.
Les Africains durant la période de la colonisation ont payé de leurs vies leur attachement à la France. Durant la Première et la Seconde Guerre mondiale ils furent invités par les autorités françaises à défendre la mère patrie ! Puis la lutte continua pour la fin de la colonisation française et l’indépendance.
En remettant le pouvoir aux nouveaux dirigeants africains, les Français n’ont fait que perpétuer leur politique et leur domination sur le système économique de leurs anciennes colonies au détriment des propres intérêts de ces dernières. Les populations africaines ont cru en l’indépendance mais en réalité les anciens maîtres blancs et leurs frères noirs furent complices pour les asservir sous une autre forme.
Il fut une époque en Afrique où pour accéder à un poste à responsabilité il fallait choisir entre la nationalité française et la nationalité du pays. On ne pouvait garder la double nationalité, cela était incompatible avec le poste requis. Quand est-il encore aujourd’hui ?
Pour certains dirigeants ou futurs dirigeants la question ne se pose même pas. Ils ont la double nationalité et ne la remette même pas en cause.
Un élu de la nation conçoit et applique les lois votées à l’Assemblée nationale en ayant à l’esprit de défendre les intérêts de ce pays et en cas de conflit armé, chacun se doit de soutenir les autorités face à un ennemi désigné.
Aux Comores, plusieurs candidats aux élections présidentielles ont la double nationalité.
Je ne remets pas en cause la double citoyenneté pour tous les citoyens mais lorsque l’on s’engage en politique, l’on fait un choix et l’on ne peut défendre les intérêts de deux pays. Trop souvent à cause de leur incapacité et de leur cupidité, les dirigeants africains viennent s’exiler en France en qualité de Français en profitant des fonds détournés !
La France fut l’un des États les plus colonisateurs d’Afrique. Les Français n’ont pas seulement été des bâtisseurs – routes, hôpitaux, chemins de fer –, ils ont, aussi, malheureusement substitué leur système politique à celui existant.
Les Africains durant la période de la colonisation ont payé de leurs vies leur attachement à la France. Durant la Première et la Seconde Guerre mondiale ils furent invités par les autorités françaises à défendre la mère patrie ! Puis la lutte continua pour la fin de la colonisation française et l’indépendance.
En remettant le pouvoir aux nouveaux dirigeants africains, les Français n’ont fait que perpétuer leur politique et leur domination sur le système économique de leurs anciennes colonies au détriment des propres intérêts de ces dernières. Les populations africaines ont cru en l’indépendance mais en réalité les anciens maîtres blancs et leurs frères noirs furent complices pour les asservir sous une autre forme.
Pour en revenir à la nationalité, pourquoi accorder un privilège à certains alors que la majorité en est exclue.Pour ceux qui se sont exilés en France, le choix leur est fait : soit ils ont des enfants nés en France et les autorités leur octroie à leur demande la nationalité française ; soit ils demandent à être réintégrés dans la nationalité française.
Il fut une époque en Afrique où pour accéder à un poste à responsabilité il fallait choisir entre la nationalité française et la nationalité du pays. On ne pouvait garder la double nationalité, cela était incompatible avec le poste requis. Quand est-il encore aujourd’hui ?
Pour certains dirigeants ou futurs dirigeants la question ne se pose même pas. Ils ont la double nationalité et ne la remette même pas en cause.
Un élu de la nation conçoit et applique les lois votées à l’Assemblée nationale en ayant à l’esprit de défendre les intérêts de ce pays et en cas de conflit armé, chacun se doit de soutenir les autorités face à un ennemi désigné.
Pascal Lissouba nous a démontré son incapacité à défendre les intérêts du Congo-Brazzaville pour le plus grand bénéfice de la société française Elf Aquitaine. Bon… c’est vrai qu’il était aussi Français.Pour certains Africains leur état est pathologique. Comme ils n’ont aucune confiance en eux-mêmes, comme Homme noir, il préfère s’approprier l’identité de l’ancien colonisateur, non pas en prenant sa couleur mais sa nationalité de Français.
Aux Comores, plusieurs candidats aux élections présidentielles ont la double nationalité.
Nombreux sont ceux qui n'ont découvert le pays que pendant les vacances d'été.
Un prétendant à la conquête de Beit Salam peut -il avoir une double nationalité?
Par Rebelles d'Afrique et d'ailleurs avec habarizacomores.com
Je conçois qu'un citoyen lambda puisse avoir la double nationalité. Mais une personne qui prétend devenir Président de l'Union des Comores, peut-elle posséder une double nationalité franco-comorienne, surtout quand nous savons que Mayotte reste une pomme de discorde entre la France et les Comores ? Said Ali Said AhmedQue dit la constitution comorienne sur la double nationalité?
Un prétendant à la conquête de Beit Salam peut -il avoir une double nationalité?