Si l’on a constaté que les conflits des compétences entres les iles et le gouvernement central avait prit fin ces cinq dernières années, la ...
Si l’on a constaté que les conflits des compétences entres les iles et le gouvernement central avait prit fin ces cinq dernières années, la gestion et l’autonomie financière sont loin d’être acquises. Le Mouigni Baraka a déclaré que « Ngazidja a été privée de son autonomie financière ».
C’est devant les notables de Ngazidja le jeudi dernier à Mrodjou que le premier magistrat de l’ile Mouigni Baraka Saïd Soilihi a fait la révélation selon laquelle « l’ile de Ngazidja a été victime des son autonomie financière ». Contrairement à ce que la plus grande majorité de la population croyait par rapport à la stabilité retrouvée entre les deux pouvoirs, l’ile ne percevait pas ses droits financières « ze houtwams ». « Si je n’avais pas crié, ni rompre avec le pouvoir central, c’est par ce que je jugeais que la paix et la stabilité du pays est primordial avant tout chose mais l’ile a été privée de ses droit financières durant ses dernières années. Je préférais n’est pas imité mes prédécesseurs en criant que l’ile est ce ci ou cela, tout en essayant de faire une bonne gestion le peut qu’on me donnait, pour l’intérêt de la nation », a –il déclaré le gouverneur Mouigni Baraka Saïd Soilihi.
Pour justifier ses propos, il a annoncé quelques chiffres sur la part financière que le gouvernement central contribué sur la gestion de l’ile. « La répartition budgétaire objet de tous les conflits, est fixé à 8 milliards 650 millions par an pour l’ile de Ngazidja dont 5 milliards 400 million sont les salaires. Sur cette sommes, 2 milliards 200 millions est le récolte que l’ile recevait par an soit 108 millions 900 par mois. Pendant que les résultats de nos recettes propre de l’ile à progressé de 300 million à 900 million par an », a-t-il chiffré le gouverneur de l’ile de Ngazidja.
Dans cette rencontre avec la notabilité de Ngazidja, Mouigni Baraka a précisé que l’ile a été victime de plusieurs injustice sociale que politico-financière pour lui « la stabilité est la seule gage de l’unité nationale », a-t-il rappelé avant d’ajouter que « mon successeur doit comprendre que les choses de sont pas aisée qu’il ne croit pas je n’ai pas subit ce que mes prédécesseurs ont subit », a-t-il conclu.
C’est devant les notables de Ngazidja le jeudi dernier à Mrodjou que le premier magistrat de l’ile Mouigni Baraka Saïd Soilihi a fait la révélation selon laquelle « l’ile de Ngazidja a été victime des son autonomie financière ». Contrairement à ce que la plus grande majorité de la population croyait par rapport à la stabilité retrouvée entre les deux pouvoirs, l’ile ne percevait pas ses droits financières « ze houtwams ». « Si je n’avais pas crié, ni rompre avec le pouvoir central, c’est par ce que je jugeais que la paix et la stabilité du pays est primordial avant tout chose mais l’ile a été privée de ses droit financières durant ses dernières années. Je préférais n’est pas imité mes prédécesseurs en criant que l’ile est ce ci ou cela, tout en essayant de faire une bonne gestion le peut qu’on me donnait, pour l’intérêt de la nation », a –il déclaré le gouverneur Mouigni Baraka Saïd Soilihi.
Pour justifier ses propos, il a annoncé quelques chiffres sur la part financière que le gouvernement central contribué sur la gestion de l’ile. « La répartition budgétaire objet de tous les conflits, est fixé à 8 milliards 650 millions par an pour l’ile de Ngazidja dont 5 milliards 400 million sont les salaires. Sur cette sommes, 2 milliards 200 millions est le récolte que l’ile recevait par an soit 108 millions 900 par mois. Pendant que les résultats de nos recettes propre de l’ile à progressé de 300 million à 900 million par an », a-t-il chiffré le gouverneur de l’ile de Ngazidja.
Dans cette rencontre avec la notabilité de Ngazidja, Mouigni Baraka a précisé que l’ile a été victime de plusieurs injustice sociale que politico-financière pour lui « la stabilité est la seule gage de l’unité nationale », a-t-il rappelé avant d’ajouter que « mon successeur doit comprendre que les choses de sont pas aisée qu’il ne croit pas je n’ai pas subit ce que mes prédécesseurs ont subit », a-t-il conclu.