L’épanouissement de la jeunesse, un pilier prioritaire du développement national

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La jeunesse est un pilier indispensable pour l'avenir de notre pays. Elle est l'avenir non négociable de notre Nation. Sans elle n...

La jeunesse est un pilier indispensable pour l'avenir de notre pays. Elle est l'avenir non négociable de notre Nation. Sans elle notre pays n'a pas d'avenir. C'est pourquoi il est primordial de donner une priorité à l'éducation, à la formation professionnelle et technique et surtout à l'insertion professionnelle. Nos écoles, notre Université et nos centres de formation professionnels doivent nécessairement s'adapter pour faciliter l'adaptation des jeunes diplômés au marché du travail et l'embauche des jeunes. Certes nous ne pouvons pas faire embaucher les jeunes mais les responsables publics doivent faciliter l'insertion professionnelle et donner une chance à chacun de faire une formation qui lui permettra d'envisager de créer tout seul ou en groupe une activité créatrice de revenus et d'emplois.

Le développement des entreprises mixtes, les coopérations et groupements d'intérêt économiques ainsi que l'auto-emploi par l'entrepreneuriat et un service national de formation continue, technique et professionnelle renforcé par un dispositif national de conversion professionnelle constitue les fondements d'une telle politique en direction des jeunes. Le principe d'égalité des chances pour tous les jeunes ne doit pas rester un vain mot. Un fonds national pour la jeunesse et un espace d'expression de celle sous forme d'un conseil national pour la jeunesse devront être envisagé.

La formation professionnelle et technique est primordiale pour toute Nation. Nous devons la rendre obligation. Il est essentiel de créer un système national privé et semi-public de formation professionnelle et technique pour améliorer les compétences des cadres comoriens et rendre opérationnels les jeunes diplômés. Les entreprises privées devraient se regrouper sous forme de groupements d'intérêts économiques (GIE) pour mettre en place un tel dispositif. Il n'y a que le premier pas qui coûte.


Darchari MIKIDACHE, président du think tank "Cercle des Économistes et des Experts Comoriens (CEEC)".

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