La candidature de Sambi dérange énormément le pouvoir et les partis politiques qui le prêtent allégeance. Non contents de semer la confusio...
La candidature de Sambi dérange énormément le pouvoir et les partis politiques qui le prêtent allégeance.
Non contents de semer la confusion sur l’application de l’article 13 de la constitution sans parvenir à leur fin, ils s’apprêtent à lancer les fonctionnaires de l’état, les agents des sociétés d’état et les étudiants dans la rue pour affronter le parti JUWA.
Pour notre part, JUWA est un parti respectueux de la légalité comme l’atteste la démarche que nous avons entreprise depuis que le gouvernement de Ikililou s’est déclaré très hostile à la candidature de Sambi :
Par ailleurs, nous rappelons que notre président d’honneur a visité toutes les localités de Ngazidja pour expliquer le bien-fondé de sa candidature et partout il a été accueilli avec les honneurs.
Grâce à notre démarche républicaine que nos adversaires interprètent comme une faiblesse et un échec de notre part, la communauté internationale est aujourd’hui convaincue de la nécessité de clarifier nos lois pour que tout comorien puisse être candidat aux présidentielles dans le respect de la tournante.
Justement, le respect de la tournante est que les primaires puissent être organisées tour à tour dans chaque île et que les électeurs inscrits dans l’île où échoit la tournante puissent choisir démocratiquement les 3 candidats aux élections présidentielles.
Cette situation en faveur de la paix et de la démocratie a mis à mal le pouvoir et ses alliés. Ils sont pris de panique de sorte qu’ils ne font plus confiance à la cour constitutionnelle et cherchent à créer l’affrontement dans la rue pour ensuite pouvoir accuser le parti JUWA de déstabilisation.
Pourquoi une clarification de l’article 13 de la constitution alors qu’il est déjà clarifié par l’article 6 de la loi organique portant conditions d’éligibilité et d’inéligibilité du président de l’Union ?
Le congrès doit le clarifier davantage tout simplement parce que la Cour constitutionnelle s’est déclarée incompétente pour donner un avis à son interprétation.
Il appartient alors aux représentants de la nation et aux conseillers des îles de faire la clarification pour favoriser la paix et la démocratie dans notre pays.
La panique du pouvoir et ses alliés se confirme par le fait que Anissi Chamsiddine vient de prendre le relais à Ali Msaidie sur les ondes des médias officiels pris en otage par le pouvoir.
A Anjouan le pouvoir et ses alliés se sont engagés dans une campagne ignoble pour tenter de réveiller le vieux démon du séparatisme par la provocation de l’opinion publique de Ngazidja en tenant des propos inacceptables tels que « les anjouanais n’accepteront pas qu’un non anjouanais se présente candidat aux primaires qui seront organisées en 2021 ».
Cette campagne d’un autre âge est confiée à un groupe composé du coordinateur de l’Union (Chamou Ali), de l’homme de confiance de Anissi (Housni Abdou M’madi) au penchant très séparatiste par rancune, de l’ancien Secrétaire régional de l’UPDC (Miftahou Hadhira), du président de la « société civile » (Ahmed Malide), de Moustadirane Abdou (CRC), de Zarouki Bouchrane (Orange), de Aida Nourdine, de Abdallah Mitale, de Makani Said, de Moussa Houmadi, de Assiati Abdallah (conseillère de Anissi), de Arbabi Ali (conseiller de Anissi), du préfet de Mutsamudu (Ali boura) et du prefet d’Ouani (Ali Said).
Le parti JUWA affirme que :
Maintenant que ceux dont notre candidature dérange, doivent faire campagne pour que les électeurs de Ngazidja ne votent pas pour Sambi. Certes que cela constitue pour eux une mission impossible et ils préfèrent chercher à plonger le pays dans l’instabilité pour espérer garder le pouvoir.
Vive l’unité nationale et vive la démocratie !
Cellule de communication du parti JUWA /section d’Anjouan
Non contents de semer la confusion sur l’application de l’article 13 de la constitution sans parvenir à leur fin, ils s’apprêtent à lancer les fonctionnaires de l’état, les agents des sociétés d’état et les étudiants dans la rue pour affronter le parti JUWA.
Pour notre part, JUWA est un parti respectueux de la légalité comme l’atteste la démarche que nous avons entreprise depuis que le gouvernement de Ikililou s’est déclaré très hostile à la candidature de Sambi :
Mémorandum sur l’article 13 diffusé dans le pays et envoyé à la communauté internationale,•
Pétition ayant recueilli plus de 54.000 signatures de comoriens,•
Recours en interprétation de l’article 13 de la constitution,•
Demande pour la convocation du congrès pour clarifier l’article 13.
Par ailleurs, nous rappelons que notre président d’honneur a visité toutes les localités de Ngazidja pour expliquer le bien-fondé de sa candidature et partout il a été accueilli avec les honneurs.
Grâce à notre démarche républicaine que nos adversaires interprètent comme une faiblesse et un échec de notre part, la communauté internationale est aujourd’hui convaincue de la nécessité de clarifier nos lois pour que tout comorien puisse être candidat aux présidentielles dans le respect de la tournante.
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Justement, le respect de la tournante est que les primaires puissent être organisées tour à tour dans chaque île et que les électeurs inscrits dans l’île où échoit la tournante puissent choisir démocratiquement les 3 candidats aux élections présidentielles.
Cette situation en faveur de la paix et de la démocratie a mis à mal le pouvoir et ses alliés. Ils sont pris de panique de sorte qu’ils ne font plus confiance à la cour constitutionnelle et cherchent à créer l’affrontement dans la rue pour ensuite pouvoir accuser le parti JUWA de déstabilisation.
Pourquoi une clarification de l’article 13 de la constitution alors qu’il est déjà clarifié par l’article 6 de la loi organique portant conditions d’éligibilité et d’inéligibilité du président de l’Union ?
Le congrès doit le clarifier davantage tout simplement parce que la Cour constitutionnelle s’est déclarée incompétente pour donner un avis à son interprétation.
Il appartient alors aux représentants de la nation et aux conseillers des îles de faire la clarification pour favoriser la paix et la démocratie dans notre pays.
La panique du pouvoir et ses alliés se confirme par le fait que Anissi Chamsiddine vient de prendre le relais à Ali Msaidie sur les ondes des médias officiels pris en otage par le pouvoir.
A Anjouan le pouvoir et ses alliés se sont engagés dans une campagne ignoble pour tenter de réveiller le vieux démon du séparatisme par la provocation de l’opinion publique de Ngazidja en tenant des propos inacceptables tels que « les anjouanais n’accepteront pas qu’un non anjouanais se présente candidat aux primaires qui seront organisées en 2021 ».
Cette campagne d’un autre âge est confiée à un groupe composé du coordinateur de l’Union (Chamou Ali), de l’homme de confiance de Anissi (Housni Abdou M’madi) au penchant très séparatiste par rancune, de l’ancien Secrétaire régional de l’UPDC (Miftahou Hadhira), du président de la « société civile » (Ahmed Malide), de Moustadirane Abdou (CRC), de Zarouki Bouchrane (Orange), de Aida Nourdine, de Abdallah Mitale, de Makani Said, de Moussa Houmadi, de Assiati Abdallah (conseillère de Anissi), de Arbabi Ali (conseiller de Anissi), du préfet de Mutsamudu (Ali boura) et du prefet d’Ouani (Ali Said).
Le parti JUWA affirme que :
• La citoyenneté comorienne a la primauté sur l’identité insulaire,
• La souveraineté appartient au peuple qui l’exprime par les urnes,
Maintenant que ceux dont notre candidature dérange, doivent faire campagne pour que les électeurs de Ngazidja ne votent pas pour Sambi. Certes que cela constitue pour eux une mission impossible et ils préfèrent chercher à plonger le pays dans l’instabilité pour espérer garder le pouvoir.
Vive l’unité nationale et vive la démocratie !
Cellule de communication du parti JUWA /section d’Anjouan